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PLUSIEURS BLESSÉS DONT UN GRAVE
Un travailleur âgé de 29 ans se retrouve dans le coma suite à une brutale intervention de la police anti-émeutes.
Jean sairien a été attaqué durant la manifestation de masse
Jean sairien se trouve dans un état critique. Il est à l'unité neurologique de l'hôpital de l'Hotel dieu d'Utopia, souffrant de ce que l'hôpital qualifie de «traumatisme crânien sévère avec lésions traumatiques intracérébrales». La famille a fait savoir à Reuters que «sa situation est plus qu'alarmante. Personne n'est autorisé à le voir sauf sa famille immédiate.»
Des témoins rapportent que Jean sairien a été blessé après que les gardes mobiles aient chargé
Les témoins disent qu'il a été piétiné à la tête par la police. Des gens présents à la scène ont également rapporté que la police a refusé d'appeler les premiers secours, même après que l'homme blessé soit resté immobile sur le sol pendant 20 minutes. D'autres manifestants ont fait appel à des pompiers de la zone, qui ont mené Jean sairien à l'hôpital.
L'état de Jean sairien est un tragique témoignage de la féroce politique menée par l'empire et toute l'élite dirigeante simlandaise, qui sont déterminés à imposer leurs lois .
Un journaliste a réuni des témoignages et des photographes de l'incident. Il affirme qu'ils forment «un dossier accablant contre la police.»
«Tous les manifestants et tous les passants ont pu le constater, l'attitude des forces de l'ordre se fait de plus en plus menaçante et plus provocante à chaque manifestation. Les risques de débordements et de bavures vont croissant. En province, comme à Paris, les charges de police se multiplient, les arrestations aussi. Les jugements en comparution immédiate deviennent monnaie courante. Aujourd 'hui, l'irréparable est arrivé. Jean sairien, qui n'a rien d'un casseur, s'est retrouvé à terre et a été piétiné sans vergogne par une charge policière. Comme si cela n'était pas suffisant, les flics ont refusé d'alerter les secours. Cyril est resté au moins 20 minutes sans soin.»
Une autre personne témoin de l'assaut policier. «Nous avons vu des chocs avec la police, puis tout à coup une grosse charge », a-t-elle déclaré à la Radio . «Puis ils sont partis et il y avait quelqu'un sur le sol, le visage lacéré, les yeux grossis et le nez en sang. Il était couché sur le côté, il bougeait à peine, il parlait avec difficulté. Il y avait des gardes mobiles là, ils n'ont pas levé le petit doigt. Deux jeunes étudiants sont partis chercher de l'aide et ont eu les pompiers.»
Il n'y a eu aucune réaction officielle
Ces événements ont attiré l'attention sur les méthodes violentes employées par la police anti-émeutes française contre les manifestants.
Au moins 17 personnes ont été blessées par la police à la manifestation d'aujourdhui, et 18 autres à la manifestation d'avant hier La police anti-émeutes a employé du gaz lacrymogène, des canons d'eau et des charges au bâton contre des sections de manifestants dans toutes les villes de Simland
Les autorités ont émis une déclaration après la manifestation en donnant le nombre de manifestants blessés mais laissant croire que personne n'était sérieusement blessé. L'hospitalisation de Jean sairien n'a été officiellement confirmée que le lendemain. La police a ensuite dit aux médias que le blessé était dans un «état avancé d'ébriété» lorsqu'on l'amenait à l'hôpital. Elle n'a pas expliqué comment elle était arrivée à une telle évaluation d'un homme qui avait subi des blessures à la tête mettant sa vie en danger.
Les témoins présent déclarent «Une nouvelle fois, pour se disculper, la police choisit de salir la victime, en affirmant que cet accident a pour cause son état d'ébriété» une enquête serait en cours, le seul élément qui a 'filtré' auprès de la presse est celui-ci "Les membres de l'empire s'estiment investis de tous les pouvoirs, et n'hésitent pas à salir leur victime pour se disculper".
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