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Leonard
Citoyen
Inscrit(e) le : 04 Sep 2005, 13:01 Argent en votre possession: 1,777.99 Banque:3,139.99 Message(s) : 4931 Localisation : Laval, QC
A propos de vous: SONOMA | SD |    
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Parti Politique: SUN | Simland United
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[align=center]LIVE IN ULURU
Comme si vous y étiez [/align]
[align=center]Mesdames et Messieurs, bonjour
C'est avec beaucoup de plaisir que je vous présente ce nouveau topic d'un genre nouveau. Comme vous le savez, l'Uluru se dévellope très rapidement.
Dans le but de mieux faire connaître l'Uluru, je vais réaliser ce projet qui vous permettra de découvrir comment vivie les habitants de l'Uluru.
Grâce à se projet, vous n'allez plus rien ignorer du mode de vie particulier des autentique Uluriens. Eh oui, ce projet, c'est celui de présenter chaque Dimanche, vers 10h00, une famille Ulurienne au travers d'un reportage sur sa vie.
Vous suivrez par écrit, une journée normale pour eux.
J'espère de tout coeur que ce nouveau projet sera compris, accepté, et suivis par un maximum de gens.
Vive l'Uluru !!! Vive Simland !!!
Rendez vous dimanche à 10h00 pour le premier reportages. Bla-Bla çi-dessous.[/align][/b]
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Dernière édition par Leonard le 20 Mai 2007, 09:00, édité 1 fois.
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Leonard
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[align=center]Alain, Deborah,Ashley et Kimberly Roubaty[/align]
Pour Alain et Deborah Roubaty , la journée commence tôt. A six heures déjà, tout le monde est debout dans la maison familial à El Esperanto, le quartier des collines de Ivrea. Même les deux fillettes Ashley, 4 ans, et Kimberly, 7 ans, qui sont plantées devant la télévision. Pendant que les deux filles suivent leur emission favorite, Deborah prépare le petit déjeuner qui comprend, outre les céréales et l'inévitable jus d'orange, des pastilles vitaminées.
Vers sept heures, Alain quitte la maison. En voiture, il lui faut tout juste vingt minutes pour se rendre au travail « Ce n'est pas grand chose, déclare-t-il, avant j'avais cent cinquant kilomètre à parcourir ce qui me prenait deux bonnes heures. »
Alain, qui vient de l'informatique, occupe aujourd'hui le poste de chef des achats dans une entreprise de haute technologie spécialisée dans la fabrication d'instrument de mesure et de contrôle.
En venant habiter si près de son travail , il a réalisé son rêve, posséder sa propre maison dans une zone de verdure à deux pas du CBD. Les collines qui entourent Ivrea ne sont pas encore bâtie, même si elle le seront bientôt.
Dans l'intervalle, les deux filles ont également fini de déjeuner. Deborah prépare un pique-nique pour le dîner de Kimberly. Tout à l'heure, le bus scolaire passera la prendre, et elle ne rentrera pas avant trois heures de l'après-midi.
Sa petite soeur, elle, ne commencera le jardin d'enfant que dans une année. Deborah ne se plaint pas de rester seule à la maison, au contraire. A l'inverse de près de la moitié des mère de famille Ulurienne, elle n'a ni besoin ni l'envie de travailler: « avec Alain, nous avions convenu que je resterais à la maison pour m'occuper des enfants. C'est une excellent solution. Je ne vois pas pourquoi je travaillerais si cela n'est pas absolument nécessaire. «
A la maison, elle ne s'ennuie jamais. Elle fait partie d'un club de fitness où elle retrouve deux fois par semaine d'autre femmes soucieuses de se maintenire en forme. Entre les séances, elle s'entraîne avec des cassettes video.
Plus tard, quand les enfants seront grands, elle aimerait travailler dans le social, faire quelque chose pour la communauté, comme elle le dit elle-même: aider des malades cancereux ou s'occuper de personnes âgées. La sonnerie vient sans cesse interrompre notre conversation: Des voisines qui souhaitent fixer un rendez-vous, ou, plus simplement, tailler une bavette. A ivrea, le principe de bon voisinage est sacré, comme me l'explique Deborah en sêmpressant de me donner un exemple: « Quand nous partons en voyage, nous prenons contact avec des voisins pour qu'ils gardent l'oeil sur la maison et qu'ils signalent les rôdeurs suspect à la police. » Ce service de garde figure sur la liste des tâches de l'association des propriétaires dont les Roubaty sont membres. L'association, soutenue par un système de cotisations, publie en outre sporadiquement un journal dans lequelle elle traite des problème de la vie communautaire ou souligne certaines règles à respecter. Ainsi, il est interdit de laisser trainer une voiture toute déglinguée devant la porte: Pour des gens comme les Roubaty, la vieille voiture éveille automatiquement l'images des quartiers pauvres.
Comme beaucoup d'autre femmes. Deborah a la passion du shopping; elle adore comparer les prix pour acquérir la marchandise la plus avantageuse... quittes à parcourir plusieurs dizaines de kilomètres en voiture: Les Robertson ont en effet chacun leur véhicule. Aujourd'hui par exemple, elle a le dans le journal qu'il y avait des pizzas en promotion au centre d'Ivrea.. Lorsque je lui demande si les frais d'essence n'annulent pas le gain qu'elle va réaliser sur les pizzas, elle se contente de hochet la tête – Une réaction comprehensible quand on sait combien l'essence est bon marché en Uluru proche de son grand voisin américain.
« maintenat, il faut que vous alliez voir Kimberly à l'école « me glisse-t-elle à l'improviste.
L'école San Benancio n'est pas loin, mais nous prenons la voiture ,tout comme les élèves prennent le bus qui vient les chercher et les ramener. A l'école, la maîtresse de Kimberly, Nina Colir, nous accueille chaleureusement avant de nous présente à la classe. Kimberly, tout excitée, rougit de fierté en nous voyant. L'institutrice organise aussitôt un « quart d'heure du sud ». Les question fusent les unes après les autres. « tu aimes le poisson ?« ma lance Joe.
Nina Colir, qui travaille avec une assistante, vient d'aborder le chapitre des dinosaures; aux fenêtres, on voit des modèles de ces géants disparus. En découvrant sur une banderolle les mots
Soit un lecteur – soit un vainqueur – soit un ami, tracés à l'ordinateur, je constate non sans étonnement que les élèves emploient déjà l'informatique. Ici, elle a été utilisée au service d'une campagne de lecture. L'analphabétisme étant en recrudescence en Uluru, l'école a entrepris de stimuler le goùt de la lecture chez les petits. Tout lescteur est donc, comme le dit le texte, un vainqueur et un ami. Vainqueur de quoi, ami de qui ? Mystère, la banderole ne le précise pas et Nina Colir n'en a pas non plus la moindre idée. « il est probable que ce slogan a tout simplement été choisi parce qu'il est facile à retenir, dit-elle; tenez, il y en a un autre du même style, là, au mur: Je vais bien – toi aussi ! « Un exemple qui, tout en souliqnant l'emploi des la forme affirmative, montre bien l'ésprit d'émulation qui règne dans cette salle de classe.
Rentré chez lui vers six heures, Alain se met, après le souper, devant la télévision. Toute la famille passe une soirée devant une serie télévisée, avant de se coucher pesiblement.....
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C'est la fin de se premier reportages effecuer par Christophe Lonchet, originaire de Ivrea lui aussi.
La semaine prochaine: la vie d'un prêtre très modernes.
Merci de laisser vos commentaire çi-après
Merci
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