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RÉVOLUTION FERROVIAIRE
Le train en Hudson est une très vieille histoire. Terre privilégiée des colons suisses, suédois, allemands et britanniques, le rail s'est développé à une vitesse fulgurante au dix-neuvième siècle pour irriguer au mieux un riche territoire grand comme l'Allemagne. Lors des trente glorieuses, qui profita largement à l'économie des futurs États simlandais, alors ruinés par les guerres fratricides qui sévirent durant la seconde guerre mondiale, l'ascension de la route fit disparaître l'exploitation d'un large réseau ferroviaire, qui n'était plus emprunté par une population souhaitant désormais prendre part au développement automobile.
Lorsque la fédération simlandaise s'est constituée en 2003, on promit aux États reculés un développement autoroutier conséquent permettant d'interconnecter les régions désormais unies. Seuls trois axes routiers d'importances furent crées dans les États du Whyalla et de l'Uluru (aujourd'hui État hudsonois) ; la décéption fut telle que l'État hudsonois décida de réactiver progressivement les milliers de kilomètres de rail en Hudson qui n'étaient plus exploités depuis 1969.
Le réseau ferroviaire hudsonois était si vaste qu'il ne fut pas détruit par les autorités d'époque, mais simplement laissé à l'abandon et il suffit au conseil exécutif de réaffecter les lignes et les gares. Grâce à un pari osé du gouvernement, le rail hudsonois passe de quelques 2'000 kilomètres de rails à 35'000 kilomètres de voies dès à présent.
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