Histoire de la Nouvelle Corse : 1923 L’avènement du Fascisme
Corps Francs lors du coup d'état Fasciste de 1923
L’expérience du Socialisme-Libertaire tourna malheureusement court sur l’île. Car même si le prolétariat ouvrier et paysans trouva une nouvelle énergie émancipatrice dans ce nouveau régime, les forces de la réaction préparaient une riposte d'une violence inouïe contre les forces ouvrière. Tout d'abord, les plus pieux avaient mal vécus le pillage les réquisitions prolétarienne dans les lieux de culte de l’église. Le clergés complota secrètement de son cotes. Les riches planteurs, descendants des premiers colons aussi enrageaient de la spoliation de la restitution des terres aux paysans.
L'abbaye de Saint Francis, cœur de la vermine réactionnaire.
Village de Santa Calenzana, repère des propriétaire contre révolutionnaire
Le soir de Noel 1922 une réunion maléfique eut lieux dans un manoir du village de Santa Calenzana. Le Pasteur Harold fraîchement débarqué des Etats-Unis, Madame Pénélope Duchesne propriétaire de 5 grandes plantation , invitèrent le colonel Cornelio Olivera. Ce dernier "héros" de la grande guerre (pour avoir poussé 99% des volontaire Néo-Corsois à la mort durant la bataille de la Somme). Les trois nouèrent une alliance maléfique. Cornélio avec ses soldats démobilisé devaient monter une milice de Corps Francs pour prendre d'assaut le Palais du peuple. Ce coups d'état devait être financé par la richesse de Madame Duchesne et par son réseaux de propriétaire terriens expatrié. Harold devait attirer la vindicte des religieux de l’Île par une propagande anti-communiste virulente.
L'immonde Triumvirat : le Colonel Cornélio Olivera, le Pasteur Harold, et Madame Duchesne.
Le coups d'état eut lieu le 23 Février 1923. Comme prévus les Corps Francs attaquèrent le palais du peuple, leurs automitrailleuse faisant des ravages dans les rangs d'une milice populaire très courageuse, mais peu préparé. Pendant ce temps, les sbires religieux du Pasteur Harold déclenchèrent des grèves dans les principales usines et centres de communications. L'attaque fut fulgurante, et la république Socialiste fut abolie a la fin de l’après-midi. La grande Alexandra Kroposkaia ainsi que 300 de ses camarades sont exécutés le lendemain. Devant le peloton d’exécution elle s’écriât : "C'est un coup de poignard dans le dos du prolétariat !". Elle restera à jamais dans nos mémoire comme une martyr du socialisme universel.
La population lâche aspirant à la paix s’accommoda du nouveau régime autocratique qui allait être mis en place, n’envisageant pas que ce Triumvirat Fasicto-Religio-Capitaliste aillait les mener dans une nouvelle guerre mondiale ... mais ca c'est une autre histoire !
A suivre ... " En route vers la guerre"
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