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~ CLASSIQUE D'ACEIRA ~
Merci à Taupin pour la grande qualité de son dossier
Le logo de l'équipe cycliste locale, emmenée par Paolo Corinthés[/align]
La classique d'Aceira marque le début de la saison cycliste 2009. Loin d'être une simple course d'avant saison, cette épreuve mérite une attention particulière au vu du plateau engagé et de l'organisation déployée. En effet toute la ville s'est amassée sur les bords de la route pour suivre les coureurs suer sur un parcours plutôt casse-pattes. Jugez plutôt : un col court mais raide les attend en début de circuit, avant une petite côte quelques kilomètres avant l'arrivée. De quoi donner des idées aux attaquants.
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- Réalisation carte : Taupin -[/align]
C'est justement ce qui se passe durant la première heure où chacun veut se montrer à son avantage. Un groupe d'une bonne dizaine de coureur tente une échappée, mais seuls
Velidor (TYGRES-COMORA) et
Pavé (GENERAL CONCEPTION) tiennent la dragée haute à ces poursuivants éphèmères. Bientôt le seul et surprenant
Pavé va être le seul à lutter contre un peloton reconstitué. Sa petite escapade va le mener jusqu'avec 5 minutes 30 d'avance. Peut être pense-t'il tenir une victoire inespérée, mais à seul contre tous son affaire est mal engagée. Il résiste toutefois jusqu'au dernier tour, moment choisi par les gros bras pour attaquer.
Van't Kuip (TYGRES-COMORA) lance la première pique suivi par
Ashvensford (HEIWASHIMA) et
Domingé (GENERAL CONCEPTION) qui applique une stratégie d'équipe à la perfection en prenant le relais de son camarade échappé. Ce petit groupe ne parvient pas toutefois à creuser l'écart et est même repris par 3 autres hommes sur la partie finale du col de Grescada (
Swindon d'ARCANDIAS,
Corinthés le local d'ACEIRA et enfin
Extebarria de TYGRES qui a suivi au forceps)
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Antoine Pavé fait le spectacle dans les rues d'Aceira
La bagarre entre les hommes forts[/align]
Tout ce petit monde temporise dans Udassa et Akayampa, ce qui permet un regroupement général de 16 hommes en tête, puis de 34 coureurs à bout de souffle dans la descente. Tout va se jouer au sprint entre costauds. A ce petit jeu, Martin
Cheunot (HILLAND CORP) n'est peut être pas le plus rapide, mais sûrement le plus malin. Il prend le dernier virage à angle droit avant l'arrivée de manière très serré, ce qui lui octroye une longueur d'avance en entrant sur la Rue du Château. Il résiste avec brio à
Netilo (OROCHATEL) jusqu'à la ligne d'arrivée ou il remporte un succès inattendu et bienvenue pour son équipe. Pourtant pas catalogué dans les favoris, il a su attendre son heure et tirer son épingle du jeu.
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Martin Cheunot au bout de son effort[/align]
[align=center]RENDEZ-VOUS SUR LE BLA-BLA[/align]