ben, on verra qui a raison.

Autrement, j'aime bien lire ce débat

Pour la gouverne de mon amis Djay qui a encore parlé sans savoir et sans réfléchir...SC5 n'est pas près de sortir pour la simple raison qu'il n'ont aucun interêt à depenser de l'argent sur SimCity qui est beaucoup moins rentable que les Sims.
Or, alors que les Sims n'evoluront plus techniquement durant la periode de bourrage d'addon, Sim City demande un grande effort...


Alors, expliques moi pourquoi Maxis et EA investirai dans SC alors qu'elle gagne plus de fric à investir dans les Sims ?

Parce que les gens de Maxis ne sont pas QUE des commerciaux et qu'avec tout l'argent qu'ils gagnent dans les Sims il peuvent se permetre de se faire plaisir et de revenir aux sources.
Il peut exister un équilibre entre rentabilité et valeurs

ROFLEZ

"Plus on en a , plus on en veux."

La vraie phrase est " Plus on possède, plus on désire. ".

^^

Dracol et Alak main dans la main pour le meilleur et pour le pire.... surtout pour le pire ! lol Dur dur les gars hein....
Que dire de plus ?... rien..... lol



Entièrement d'accord



Exact, mais je ne pense pas que là il faudra attendre 7 ans. Le jeux vidéo (et l'ordinateur) se sont démocratisés depuis, et entre SC3K et SC4 il n'y a eu "que" 4 ans d'attente.

SC3K => 1999
SC4 => 2003
SC5 => 2007 ?

De toute façon ca m'enmerderai qu'il sorte déjà car même si je pourrai jamais finir entierement tout NA j'aimerai bien continuer encore

Si sc5 prends aussi 4 ans pour se faire alors il sera identique à SC4, logique non ?

logiquement: si ils le font, il gagnerons plus, je ne sais donc pas pourquoi il arreteraient

Altimir et Dracol
Dracol et Yukmouth
Dracol et Alakazam...



( Jme fait vieux , je suis dans tous les duo d'opposants. )

Etonnant tiens.....

faux je leur ai demander qqch une fois et il m'ont repondu un jour apres

T'avais demandé quoi ?

A propos EA : ils vont faire un siège international à Genève.

Je ne sais pas si il est actuelment
voici un long article.

Genève va-t-elle prendre des allures de Sim City? Avec la mise sur pied du siège international, pour l'édition, d'Electronic Arts (EA) dès l'été 2006, l'acteur principal d'une industrie prometteuse s'installe en Suisse. Car le marché mondial du jeu vidéo représente environ 26 milliards de francs, uniquement pour la partie logicielle. A terme, une petite centaine de personnes travailleront dans le canton. Ces professionnels s'occuperont de marketing, de finances et de ressources humaines pour le monde entier, sauf l'Amérique du Nord. En revanche, les studios de création, répartis aux Etats-Unis, au Canada, en Angleterre et au Japon, ne vont pas déménager à cette occasion.

Fondée en 1982, EA constitue un empire du divertissement numérique: 6100 employés dans le monde et un chiffre d'affaires pour 2005 de presque 4 milliards de francs, malgré des pertes de 74,7 millions annoncées cet été. La plupart des joueurs attendent avec impatience ses programmes de simulation réalistes calqués sur des compétitions existantes, comme FIFA06 (football), NHL06 (hockey sur glace) ou Tiger Woods PGA Tour 06 (golf), trois titres parus très récemment. La société s'intéresse également au cinéma populaire et fabrique sous licence des jeux basés sur Batman, James Bond ou encore Le Seigneur des anneaux.

Simulateur de vie

Mais son ludiciel le plus célèbre reste les Sims 2, sorti en automne 2004 et constamment remis à jour par des extensions rigolotes. Classé dans la catégorie étrange des «simulateurs de vie» par le site spécialisé gamekult.fr, il invite le joueur à animer des humains virtuels, à influencer leur cadre de vie, gérer leur vie sociale, leur faire rencontrer l'amour de leur vie, prendre des douches, papoter, etc. Un jeu prenant, qui oblige les accros à mordre sur leurs heures de sommeil. Le succès est au rendez-vous: l'extension Nightlife se trouve dans le peloton de tête des meilleures ventes en Suisse romande. Par ailleurs, 31 produits d'EA se sont vendus à plus d'un million d'exemplaires dans le monde.

Autant dire que l'installation de ce poids lourd à Genève ravit Claude Talaber, directeur de la publication Start2Play, spécialisée dans le multimédia: «Il s'agit d'une reconnaissance de l'intérêt du marché suisse du jeu vidéo.» De son côté, Olivier Morgan, directeur de Komodosoft à Sierre, espère que des professionnels du domaine, aimantés, viennent à leur tour s'établir en Suisse. «Ainsi, nous nous sentirons moins seuls», note ce créateur.

Recrutement local

Loin du monde virtuel, la société californienne «cherche» encore le bâtiment idoine pour abriter ses activités, selon sa porte-parole Tiffany Steckler. Des employés d'EA, aujourd'hui basés à Londres, déménageront en Suisse. Parmi eux, Gerhard Florin, le futur directeur du centre genevois. Vice-président exécutif depuis septembre 2005, il s'agit de l'un des cadres les plus importants de l'entreprise. Pour l'instant, le nombre de personnes qui seront recrutées localement n'est pas connu. Pierre Jaquier, délégué à la Promotion économique du canton de Genève, indique que, généralement, une société qui s'implante compte une majorité de collaborateurs provenant de l'étranger. Mais après cinq ou six ans, la proportion s'inverse, pour en venir à deux tiers de personnel local.

Une des retombées les plus surprenantes de l'arrivée d'Electronic Arts pourrait se dérouler dans le monde juridique. En effet, avec son siège genevois, cette société se rapproche physiquement des nombreuses fédérations internationales sportives que la Suisse romande abrite. Des avocats spécialisés dans le droit du sport pourraient par exemple être chargés de négocier l'adaptation de grandes compétitions pour le jeu vidéo. De son côté, EA s'est intéressé à Genève pour sa «situation centrale» en Europe, au beau milieu d'un bassin de recrutement large et diversifié qui convient à l'aspect international de la société. Tiffany Steckler note amusée que «gérer l'international depuis un pays neutre, ce n'est pas mal!»

Merci Fribourg!

Si les Genevois peuvent se gargariser à juste titre d'accueillir avec Electronic Arts l'une des entreprises qui préfigurent le XXIe siècle, c'est aussi grâce aux Fribourgeois. «Cette société a été attirée par l'entremise du réseau de la promotion économique fribourgeoise», admet, beau joueur, le conseiller d'Etat genevois Carlo Lamprecht, chargé des affaires économiques. L'axe Genève-Fribourg fonctionne jusqu'ici à merveille: l'inauguration d'un China Hub à l'aéroport de Cointrin profitera aussi des efforts réalisés par les Fribourgeois en Chine, fondateurs du Swiss Center Shanghai, une antenne qui aide les PME suisses à s'établir en Chine. Le partenariat mis en place, cette fois par les Genevois, avec le Team Alinghi, afin de profiter des retombées de la Coupe de l'America, bénéficiera à son tour aux autres cantons romands. Fribourg, c'est sûr, ne sera pas oublié…