PRÉSENTATION

Voici la ville de Champlain, capitale de l’historie de Simland. Capitale de la beauté naturelle. Venez voir Champlain, ville qui fêtera son 400 anniversaire à partir 1er janvier prochain. Pince moi ! Je rêve !


Pince moi, je rêve ! Est le nouveau slogan touristique de la ville de Champlain. Ce qui veut tout dire à propos de l’émerveillement face à la ville. 100% garantit, sinon argent remis ! Champlain est merveilleuse, à vous de la découvrir !


Voici le logo de la ville de Champlain. Écritures soignées et chiques, pour le côté art de la renaissance de la ville. Elle qui a été fondée À cette époque. Et le bateau, celui de Samuel de Champlain, fondateur de la ville. En toute simplicité, a été créé le logo.

UN PEU D’HISTOIRE

En 908, 2 bateaux, venant de l’Irlande accostent à l’embouchure d’une rivière, qu’ils nommèrent Ste-Marie, aujourd’hui St-Charles. Débarquèrent de ces bateaux, 20 moines irlandais et une centaine de paysans, fuyants les vikings. C’est sur l’emplacement actuel du quartier Brébeuf, qu’Ayan Douglas, le prieur des moines, fit construire un habitation toute simple, faite de rondins de bois et de cordes. À proximité de cet endroit, sois à l’emplacement actuel de Ste-Foy, se trouvait un village amérindien, appelé Gespeg, qui veut dire là où la terre fini, en raison du grand cap, quelques kilomètre plus loin. Ceux-ci vivaient de la chasse et de la pêche, tandis que les européens trouvèrent amère le premier hiver nordique. 5 long mois, tragiques s’était amorcés. 54 irlandais, moururent au cours de cet hiver, soit de scorbut, de froid ou de faim. Ce n’est qu’à ce moment que le chef huron, du village amérindien voisin dit à ses hommes d’aller soigner la population et de leur fournir denrées pour passer l’hiver, ce qui avantagea bien la petite communauté irlandaise. Au printemps 909, la population de l’endroit construisirent une chapelle et quelques maisons de pierres pour héberger, les quelques 30 personnes encore vivantes. Jusqu’à l’arrivée inattendu de bateaux de la garde royale irlandaise, venue chercher la maigre communauté pour la ramener au bercail.

Lors de l’arrivée de Champlain en 1606, le village huron de Gespeg n’existait plus. Tous les gens avaient désertés l’endroit pour aller s’établir un peu plus au nord à Wendake. Cependant, les Montagnais et Algonquins, populations amérindiennes pacifistes, étaient sur place, pratiquants la pêche et la chasse.

Le 3 Août 1606, Samuel de Champlain, noble géographe et explorateur de La Rochelle, débarqua au pied d’un cap, qu’il nomma diamant à cause des reflets rosés et dorés qu’on voyait. C’est après une loi, du monopole de commerce, qu’il vînt ouvrir un comptoir de traite de fourrure, mais emportant avec lui, pour un premier voyage 249 hommes, femmes et enfants, pour coloniser les territoires vierges. Il nomma la ville à l’époque St-Laurent, dieu sais pourquoi. Champlain fit construire une habitation de bois, assez grande pour héberger la moitié de la population, et quelques maisons. Tout cela entouré d’une grande palissade. De 1606 à 1608, tout se passe bien, les échanges de fourrures avec les amérindiens sont assez rentables. En 1608, Champlain fondent Québec, une autre colonie, mieux située pour effectuer le commerce des fourrures. C’est à ce moment que le comptoir de St-Laurent ferme. Tout cela ne désespère point la petite population. L’arrivée des missionnaires récollets aide encore plus la colonie. 100 autres personnes arrivent à l’endroit dont un apothicaire, un forgeron et un boulanger. Le petit village s’organise et l’administration change. C’est Pierre de la Roseraie qui devient en charge de la ville. Il fit construire un manoir sur le dessus du cap au diamant, ce qui marque la naissance de la Haute ville de St-Laurent qui change encore de nom, mais pour toujours, pour Champlain.

À partir de 1625, la compagnie des Cent-Associés devient responsable du peuplement de la colonie. Elle charge Charles Huault de Montmagny, premier gouverneur de la colonie. Il fait construire de nouvelle rue, car Champlain est destiné à être une ville. Le chemin St-Louis, première grande artère de Champlain est dessiné. Le sieur de Montmagny songe aussi à construire une église dans la haute ville, pour compléter la chapelle Notre Dame des victoires dans la basse ville. C’est à ce moment que les ursulines, les augustines et les jésuites arrivent à Champlain. Ils construirent respectivement, un hôpital et 2 écoles. À partir de 1627, les jésuites et les ursulines commencent l’instruction des amérindiens et leur conversion à la doctrine de l’église catholique universelle. Les jésuites déménagent à Sillery, où ils construivent l’école St-Joseph, pour les amérindiens, mais ils restent aussi présent dans la haute ville de Champlain.

Les environs de Champlain se peuplent et se divisent en seigneuries. D'est en ouest s'alignent les seigneuries de Beauport, Notre-Dame-des-Anges, Saint-Ignace, Sillery, Saint-Gabriel (au nord de la précédente), Gaudarville et De Maure. Elles couvrent tout le territoire de l'actuelle ville de Québec, depuis Beauport jusqu'à Saint-Augustin-de-Desmaures. Malgré la menace des iroquois qui ont déjà tués plusieurs personnes à Sillery et cap rouge, les immigrants européens peuplent la campagne plus que la ville.

En 1662, Champlain accèdent au rang de capitale de la nouvelle-beauce-francaise, aujourd’hui le Whyalla. Lieu de pouvoir administratif, avec le château St-Louis, et lieu de pouvoir religieux, c’est ce qu’est Champlain. Le séminaire de Champlain est fondé par Monseigneur de Laval, il est aussi l’archevêque de Champlain, qui couvre un diocèse de près de 300 km². Le séminaire de Champlain, administré par les Sulpiciens, y forme tous les prêtres de la colonie.

À partir du moment où le roi Louis XIV s’intéresse à la nouvelle-beauce-francaise, le peuplement de Champlain et des environs s’accentues. À la fin du XVIIe siècle, les rangs Saint-Joseph et Saint-Michel de la seigneurie de Beauport se développent. Tous les emplacements du premier rang et du bourg du Fargy – le village proprement dit – ont déjà été concédés. Dans la paroisse de Charlesbourg, fondée en 1693, plusieurs petites agglomérations rurales se dessinent : les « petits et grands » Saint-Joseph, Saint-Antoine et Saint-Bernard. Au centre, le village de Charlesbourg se distingue. Pour assurer une meilleure protection des colons, les Jésuites ont imaginé une forme originale d'occupation du territoire. Sur une partie de leur seigneurie Notre-Dame-des-Anges, ils ont délimité un carré de 25 arpents à l'intérieur duquel se trouvent l'église, le presbytère, le cimetière et la commune. Les habitations sont construites autour de ce trait-carré. Les terres s'étendent au-delà, selon un mode de lotissement radial. L'expérience est répétée à la Petite-Auvergne et au Bourg-Talon. Les Jésuites ont aussi fondés une nouvelle mission à Lorette, où une centaine d’amérindien y vivent. Le village prend alors le nom de l’ancienne lorette et la nouvelle mission du nord, la jeune Lorette. La paroisse de Ste-Foy est alors fondée en 1696, elle s’étend jusqu’à Cap Rouge. Une chapelle y est construite sur le chemin St-Michel, aujourd’hui chemin Ste-Foy. À l’extrémité ouest, la paroisse de St-Augustin-de-desmaures est fondée en 1691. À la fin du Régime français, le territoire de l'actuelle ville de Champlain forme un paysage de contrastes saisissants. Boisés, villages, champs en culture et pâturages entourent la ville de 8 000 habitants. Celle-ci se démarque par son architecture monumentale, ses fortifications, ses rues boueuses et insalubres, ses riches maisons de maçonnerie et ses bicoques des faubourgs Saint-Jean et Saint-Roch. Malgré son urbanité et son statut de capitale, Champlain reste une petite ville coloniale liée étroitement à l'arrière-pays. Les habitants viennent s'y procurer des marchandises de France et vendre leurs surplus agricoles et du bois de chauffage aux deux marchés de la ville.

Le régime colonial français se terminera en 1757, où les anglais, sous la tête de Wolf et sous la colonie de navires de Cork, capitulent Champlain, après une longue bataille sur les plaines d’Abraham martin. La population de Champlain demeurera, cependant entièrement française.

La première partie d’histoire est complétée, à venir : plan des autoroutes et futurs projets pour Champlain et images du vieux Champlain.

kool
interessant l'histoire !
j'ai hate de voir ta ville

mais le slogan "pince moi je reve" mouai sbof bof

faut comprendre le sens !! .... c'Est un slogan qui existe déja !! mais merci !! ... à Toi

Moi ça me fait marrer ce slogan...


Ca a l'air une chouette ville.

J'attend les screens avec Impatiente !
(une question...qui as lu l'Histoire ?)

En diagonale moi.
c'est à cause de la présentation trop massive.

Voici la carte des autoroutes V.1.0 et la carte des arrondissements. À venir : images du vieux Québec et carte des quartiers.

Pas mal les noms, mais il y a un S à Orléans, ce me semble...

Très belle carte ...

C'est très bien je trouve, vraiment bien. Et oui, moi je viens de lire l'histoire en entière (mais heu...bon, j'ai pas tout retenu )

lol merci aujourd'hui je devrais ajouter une carte des quartiers et peut-être les premières images de la vieille ville et du vieux port

c tré bien!
mais tien compte aussi des autoroutes de la carte de simmax!
etde la carte des reliefs!
enfin si tu sait ou placer ta ville!

bon boulot!

J'ai une question sur les points historique!
Quand on regarde la carte des reliefs on se rend compte que ta ville est sur le tracé des routes naval des Mille-Rivières,
hors se sont des commerçants/pirates et qui a une longue histoire de pillage des villes proche de rivières/fleuve
(si tu ne l'a pas lu mon histoire, je te rappel qu'on est les "vikings" ^^)

Sur le début, étant donné que les Mille-Rivières sont des "alliés" des français,
je concède qu'il est normal qu'on vous a laissé tranquille durant cette période, mais,
dès lors que les british prennent le pouvoir, en toute logique, la ville aurait du subir quelque attaque (si tu ne connais pas bien l'histoire viking,
sache que les pillages qu'ils ont fait consister principalement a vider toute les richesses des églises
(ce qui leur a valu une diabolisation de leurs actes... a ton avis qui écrivait l'histoire de l'époque? ^^),
mais donc pas d'incendie ou de génocide, je te rassure ^^)

LENTROPI : je crois que les vickings on temps de l'attaque des britaniques étaient assez ... mort lol, car l'attaque des britanique remonte a 1757 alors ... !!

tu n'a pas compris, Les mille-Rivières a la culture viking, et donc je te résume brievement cette culture pour que tu comprène que tes british vont voir leur or partir dans mon porte-monnaie ^^