Réformer le mode de désignation des gouverneurs : aucun élu n'a de légitimité à vie pour exercer son mandat, et c'est encore plus vrai lorsqu'il s'agit du chef de la politique d'un État. L'organisation régulière d'élections est devenue aujourd'hui plus que nécessaire : c'est la condition sine qua non pour s'assurer que les États seront gouvernés par des personnes dynamiques et motivées, qui devront satisfaire leurs électeurs si elles veulent renouveler leurs mandats. De plus, cela développera l'activité politique du pays au-delà de l'incontournable période électorale.
Nous proposons des mandats gouvernoraux d'un an, mais la réforme sera bien entendu examinée par le gouvernement et la population.

Renforcer la coopération entre États : l'activité des États ne dépend pas que de la motivation du gouverneur en place : de nombreux facteurs externes agissent sur leur attractivité. C'est pourquoi les États ne peuvent plus décider de 17 politiques chacun dans leur coin : les États limitrophes doivent s'entraider et former des ensembles régionaux basés sur des accords communs de façon à développer mutuellement leur activité.
Le gouvernement orchestrera la politique de rapprochement entre États par le biais du forum des gouverneurs. Au début de leurs mandats, les gouverneurs désigneront parmi eux un Président du comité des gouverneurs, c'est-à-die un modérateur du forum des gouverneurs qui aura pour fonction de relancer l'activité de tous les États en établissant des projets inter-États et en organisant des sommets de gouverneurs. Il sera indépendant du gouvernement.
Par ailleurs, des États réellement inactifs pourront être placés sous tutelle.

Renforcer la compétition entre États : la coopération aidera les États à se dynamiser, mais la compétition est aussi un bon moteur. Les États doivent se mettre en avant s'ils veulent donner une bonne image et attirer des maires.
L'organisation de concours entre États pourra avoir cette fonction dynamisatrice. Chaque État pourrait mettre en avant sa culture locale, son architecture et ses infrastructures grâce à l'organisation d'un Salon des États, vitrine des spécialités de toutes les régions du pays. L'État qui aura su séduire le plus sera récompensé par le titre d'État de l'année, ce qui devrait lui apporter une assez bonne publicité.

Poursuivre la décentralisation : la décentralisation du siège de certaines institutions nationales (comme la BCS) donnera du prestige à toutes les villes méritantes, et pas seulement à la capitale. La même idée sera appliquée avec les consulats (voir la section Extérieur).

Impliquer le gouvernement dans la promotion des États : des campagnes publicitaires, sur le principe du Programme de Repopulation des Territoires Non-Exploités, seront organisés à intervalles plus régulières et de façon visible. Les campagnes seront financées par le Trésor_public ; par ailleurs, tout gouverneur pourra transmettre une demande de Simléons au Trésor_public pour financer son compte d'État, qui sera examinée et accordée si justifiée.