"bonjour", Lalimb !

Et à ma gauche, le célèbre animateur de "Qui veut gagner des roubles pour financer la Révolution ?", auteur de "Je suis poilu, et alors ?" et de "Comment parvenir au sommet sans avoir suivi les moindres études". Il a gagné pour la 15ème année consécutive le prestigieux prix du Ridicule, applaudissez M. Napoléon_La_Viol !

Ma virilité vous rirait bien au nez, si ledit organe n'était pas obstrué par la masse informe et vaguement blonde qui vous sert de couvre-chef, que vous avez fort grasse par ailleurs.

Mon couvre-chef et moi même vous rions au nez, que vous avez gros. Cuistre que vous êtes !

Veuillez vous exhiber devant ces dames et tout le public du Topic des vraies gueules, dans la même tenue que nous vous vîmes adopter lors d'une certaine soirée arrosée en charmante compagnie. On vous rira à la masse capillaire et ce sera bien fait pour vous, parce vous avez le cheveu gras et que vous n'êtes qu'un lamentable.

Si vous n'aviez pas les globes oculaires occultés par la riche toison qui vous sert de sourcils, je voudrai bien vous croire. Mais votre petitesse dans tous les domaines possibles vous prive de la crédibilité dont vous auriez bien eu besoin. De plus vous oudez. Gueueles¤. N'est-ce pas Fraos¤ et incongru.

Ma petitesse ne s'exprime que dans les domaines où vous avez encore accès, mon pauvre. Mais je me refuserai à porter plus loin l'affaire, brave quoique pitoyable Lalimb : vous êtes né sot, on ne saurait vous en vouloir, et comme le disait toujours ma maman à moi, il faut être généreux avec les handicapés et les ahuris de tout poil. Dans ma grande miséricorde, je vous permets de vaquer à des occupations plus terre-à-terre et adaptées à votre système mental, comme traire une vache ou devenir résident des États-Unis.

Soit, je me résigne à vaquer à mes occupations terre-à-terre , comme vous dites. Je préfère encore devenir résident des États-unis que de vivre dans cette illusion qui vous sert de quotidien. Comme disait mon grand ami le Marquis Constant D'Anlayreur, je préfère être aveugle que voyant et vivre dans un conte de fées ! Vous devriez cogiter là-dessus, mon pauvre mais néanmoins irritable ami.

Notre petit verbiage vespéral vous égare, puisque vous donnez toutes les apparences de la perte des facultés de raisonnement que vous avez peut-être eues un jour. Je saurai me montrer bon prince, et attendre que vous eussiez joui des vertus du sommeil avant de poursuivre de disputer avec vous.

Prenez donc des vacances à Krk !

En voilà une excellente idée, pour une fois qu'une vous parvient ! Cela fait justement trop longtemps que je ne me suis promené sur les plages de Vrbnik ! Villégiaturerez-vous avec moi ?

Vous voulez dire, du côté de Vrbovsko, au sud de Brno ? En voilà une idée qu'est trop bonne !
Figurez-vous que j'ai invité le marquis Constant d'Anlayreur, — qui me fait l'honneur d'être de mes amis, un de mes amis très intimes même, mais c'est bien normal entre gens du monde, — à partager nos vacances annuelles en Républika Srpska ! Sa connaissance approfondie du čskosrpskohvatskij nous sera précieuse.

Oh ! Mais figurez-vous que je connais un local, ce cher M. Zlotz ! Peut-être pourrions-nous envisager une nuitée chez ce vieil ami ? Il habite un charmant village, Kržbro, au coeur de la vallée du Rścki, pas trop loin de la célèbre Rbróvkša, ville des fameux dés à coudre KŔZYKA® !

J'ai un ami qui vous dit ceci :

« Exprimationner moi vouloir réclamationne petite : d'accord pas être je seul et unique Zlotz et vacances moi passationne avec grand Guide Violette de vôs dans Thoulak alors cuistre vous êtes. »

Répondez-lui que je suis désolé d'une telle méprise ! Il m'avait pourtant clairement exprimé ceci lors de notre dernière rencotnre¤ :

« Je Zlotz invitationner moi vous demeure villégiaturance à moi pour été passationner avec Guide et vous ami cher de Zlotz pour pays faire découvrance de vous Krzk et Brvnik promener nous gaiement. »

Voilà qui me semble ma foi assez explicite.

Les insomnaics reviennent pour une seconde session intensive ! Oui mon bon monsieur.

Alors, des nouvelles de ce cher M. Zlotz ?

Ce cher M. Zlotlz, mon ami cher à moi, m'a dit de vous transmettre cette missive ; je m'exécute donc. Hop. Boum.

" Je Zlotz dire à Napoléon La Violette que lui cuistre est et que je vouloir m'exprimationner de mes plus agréables sentiments sincères donc je dire : Moi je a très apprécié énormémentalement le grand débature et je suis trouvé lui honorable orateur être. Maintenant je Zlotz dodo faire ! "