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[ONU] Représentation Permanente 
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Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, Bienvenue sur le Topic Officiel de la Représentation Permanente de Simland aux Nations Unies.

Vous trouverez ici toutes les informations nécessaires pour comprendre et suivre l'actualité de la Représentation Permanente.

Nous vous souhaitons une agréable journée.


Liens Utiles :

Site Officiel des Nations Unies - Portail Simlandais des Nations Unies

Nous Contacter :

Par courrier :

UNITED NATIONS SIMLAND EMBASSY
712 5th Avenue, 26th Floor
New York, NY, 10019
USA

Par téléphone :

212.702.8800

Par mail :

contact@simland-onu.sim


11 Fév 2011, 14:20
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>>> Topic de Discussions sur la Représentation Permanente <<<



- Les Nations Unies

- L'Ambassadeur

- L'ONU et Simland

- Simland à l'ONU

- L'Assemblée Générale

- Le Conseil de Sécurité

- Les Casques Bleus

- Les Autres Organisations

- Actualités

- 12/02/2011 - Déménagement de la Représentation en 2013

- 24/02/2011 - Communiqué à propos de la situation en Libye

- 04/03/2011 - Résolution 1970 du Conseil de Sécurité sur la Paix en Afrique


Dernière édition par Sanosuke le 04 Mars 2011, 10:21, édité 5 fois.



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L'Organisation internationale des Nations Unies a été fondée en 1945, après la Seconde Guerre mondiale, par 51 pays déterminés à maintenir la paix et la sécurité internationales, à développer des relations amicales entre les nations, à promouvoir le progrès social, à instaurer de meilleures conditions de vie et à accroître le respect des droits de l'homme.

De par son statut unique à l'échelon international et les pouvoirs que lui confère sa Charte fondatrice, l'Organisation peut prendre des mesures pour résoudre un grand nombre de problèmes. En outre, elle constitue un forum où ses 192 États Membres expriment leur opinion par l'intermédiaire de l'Assemblée générale, du Conseil de sécurité, du Conseil économique et social, des autres organes et comités.

L'activité des Nations Unies couvre toutes les parties du globe. Si les opérations de maintien et de consolidation de la paix, de prévention des conflits et d'assistance humanitaire sont bien connues, l'influence des Nations Unies et de son système (institutions spécialisées, fonds et programmes) se manifeste également de multiples façons dans notre quotidien et contribue à créer un monde meilleur.

L'Organisation se consacre à un grand nombre de questions fondamentales, comme le développement durable, la protection de l'environnement et des réfugiés, les secours en cas de catastrophe, la lutte contre le terrorisme, le désarmement et la non-prolifération, la promotion de la démocratie, les droits de l'homme, l'égalité des sexes et la promotion de la femme, la gouvernance, le développement économique et social, la santé publique, le déminage et l'augmentation de la production alimentaire et bien plus encore.

Ce faisant, elle s'attache à atteindre les objectifs fixés et à coordonner les efforts afin de créer un monde plus sûr pour les générations présentes et futures. (Extraits du Site Officiel de l'ONU)

LA CHARTE DES NATIONS UNIES

La Charte est l'instrument constitutif de l'Organisation des Nations Unies. Elle fixe les droits et les obligations des États Membres et porte création des organes et des procédures, elle fut signée le 26 juin 1945 à San Francisco.

Pour lire la Charte dans son intégralité, cliquez sur le lien ci-dessous (Site des Nations Unies) :

La Charte des Nations Unie (Langue Française)


LE SECRETAIRE GENERAL

L'actuel Secrétaire Général de L'ONU est M. Ban Ki-moon

(Extrait de la Biographie Officielle - Crédits : Nations Unies)

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Le 1er janvier 2007, M. Ban Ki-moon, de la République de Corée, est devenu le huitième Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, apportant 37 années d’éminents services au sein du gouvernement de son pays et sur la scène internationale.
Parcours professionnel

Au moment de son élection au poste de Secrétaire général de l’ONU, M. Ban était Ministre des affaires étrangères et du commerce de la République de Corée. Au cours de sa longue carrière au Ministère coréen des affaires étrangères, qui l’a emmené à New Delhi, Washington et Vienne, il a occupé des postes de plus en plus prestigieux – conseiller du Président en matière de politique étrangère, conseiller principal du Président en matière de sécurité nationale, Vice-Ministre chargé de la planification de la politique, Directeur général aux affaires américaines. Il a toujours défendu la vision d’une péninsule coréenne pacifique, assumant un rôle de plus en plus important en faveur de la paix et de la prospérité dans la région et dans le monde

M. Ban a commencé à travailler avec l’Organisation des Nations Unies en 1975, lorsqu’il était fonctionnaire à la Division des Nations Unies du Ministère. Ses liens avec l’ONU se sont resserrés au fil des années, quand il a été nommé Premier Secrétaire de la Mission permanente de la République de Corée auprès de l’Organisation des Nations Unies à New York, puis Directeur de la Division des Nations Unies au Ministère à Séoul, et enfin Ambassadeur à Vienne, ce qui l’a amené à présider la Commission préparatoire de l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires en 1999. En 2001-2002, en tant que chef de cabinet du Président de l’Assemblée générale, il a facilité l’adoption rapide de la première résolution de la session, qui condamnait les attentats terroristes du 11 septembre, et a pris un certain nombre d’initiatives visant à améliorer le fonctionnement de l’Assemblée, si bien qu’une session ouverte dans la crise et la confusion a finalement été marquée par l’adoption d’un certain nombre de réformes importantes.

M. Ban s’est beaucoup investi dans les questions ayant trait aux relations intercoréennes. En 1992, en tant que conseiller spécial du Ministre des affaires étrangères, il a été Vice-Président du Comité mixte nord-sud de contrôle nucléaire, à la suite de l’adoption historique de la Déclaration commune sur la dénucléarisation de la péninsule coréenne. En septembre 2005, en sa qualité de Ministre des affaires étrangères, il a joué un rôle de premier plan dans les efforts qui ont abouti à un autre accord historique pour la paix et la stabilité dans la péninsule coréenne, à savoir l’adoption, lors des pourparlers à Six, de la Déclaration commune sur la résolution de la question nucléaire en République populaire démocratique de Corée.
Études

M. Ban a obtenu sa licence en relations internationales à l’Université nationale de Séoul en 1970. En 1985, il a obtenu une maîtrise en administration publique de la Kennedy School of Government de l’Université Harvard. En juillet 2008, il a reçu le titre de Docteur honoris causa de l’Université nationale de Séoul.
Distinctions honorifiques

M. Ban a reçu de nombreuses distinctions, décorations et médailles dans son pays et à l’étranger. En 1975, 1986 et 2006, il a été décoré du prestigieux Ordre coréen du Mérite, pour services rendus à son pays. Au mois d’avril 2008, il a reçu la médaille de « Grand-Croix de l’Ordre national » du Burkina Faso et le même mois a été fait Grand Officier de l’Ordre national de la Côte d’Ivoire.
Renseignements personnels

M. Ban est né le 13 juin 1944. Il est marié à Mme Yoo (Ban) Soon-taek, qu’il a connue au lycée en 1962, et avec qui il a eu un fils et deux filles. Outre le coréen, M. Ban parle anglais et français.


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11 Fév 2011, 15:20
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Biographie Officielle de M. SANOSUKE SAGARA, Ancien Président de la République de Simland (Extraits de la Biographie Officielle de Sanosuke - Wikisimland)

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Sanosuke est né le 20 Février 1983 à Washington D.C., aux Etats-Unis d’Amérique. Né d’un riche industriel d’origine japonaise et d’une mère Simlandaise sur le territoire américain. Malgré son enfance passé aux Etats-Unis, Sanosuke a tissé de très forts liens avec Simland, plus précisément Mercentille, d’où sa mère est originaire. Il ne retournera définitivement à Simland qu’en janvier 2002, date où il entrera à l’Université de Droit de Mercentille.

Débuts en Politique

C’est en 2005, alors qu’il n’avait à peine que 22 ans, qu’il devint le nouveau maire de Mercentille. Il commanca par rendre à sa ville sa splendeur passée, perdue depuis bien longtemps… Il fit rénover le Port International des Comores, il placa les forêts tropicales en zones protegées, il fit remplacer les industries vétustes et polluantes par des industries « High-Tech », produisant nottament des micro-processeurs, ainsi que des puces, et les fameux grands travaux de Mercentille, visant à renover et à remodeler de façon plus pratique au niveau routier et au niveau esthetique tout le centre ville de Mercentille.

Il lança aussi les travaux des Narrows, visant à faire renaître totalement l’entrée de Mercentille.

Sa première grande intervention au niveau national fut en faveur de l’élection de Zacksmachine, aux élections présidentielles d’Octobre 2005.

Les Gouvernements

Tout d’abord Ministre de la Justice sous le Gouvernement Zacksmachine II, puis Ministre des Transports sous le Gouvernement Manubest, puis Ministre de l’Activité (Transport, Culture, Environnement) avec J-Bar sous le deuxième mandat de Jaguar. Il s’occuppa de nombreux projets tels que la rénovation des LGV (sans succes), les Universités de Simland (avec J-Bar), les Jeux Olympiques Simlandais et autres.

Ce n’est que lorsque vint l’élection de Yukmouth à la Présidence de Simland qu’il devint Premier Ministre de Simland, il démissionnera en Janvier 2007 de ce gouvernement.

Son Départ et son Retour

C’est le 17 Avril 2007 qu’il quitte l’activité politique du pays, suite à une vie trés occupée et à une exaspération de la vie politique simlandaise, préferant se concentrer uniquement à sa ville, Mercentille, mais en laissant par la même occasion Air Simland, et les Jeux Olympiques, ce qu’il ne tarda pas à regretter amèrement.

Il revint le 7 Décembre 2007 avec un peu plus de 6 mois d’absence dans la vie politique simlandaise en annoncant par la même occasion le grand retour de Mercentille.

Ag, actuel Premier Ministre, lui annonca qu’il pouvait reprendre son travail de Co-PDG de Air Simland integré au prestigieux AW Group, avec de nombreux projets en préparations.

Retour au Gouvernement sous Ag

La Présidence d'Ag marque le retour de Sanosuke au Gouvernement depuis sa démission du poste de Premier Ministre, il est nommé au Poste de Ministre de la Défense et de l'Interieur en Avril 2008. Son ministère sera marqué par la création des "Agences Fédérales" et par le début de création de l'Armée Simlandaise.

La Présidence de Sanosuke

C'est aux termes d'élections d'un genre nouveau qu'est élu Sanosuke le 4 Novembre 2008. Conjointement avec Mael, ils vont révolutionner le système électoral avec le principe de "Colistier". La Campagne Sanosuke-Mael '08 est un véritable succès, dès le Premier tour ils récoltent 43,90% des voix et au second 62,74% face à Seto. Elu presque en même temps que le Nouveau Président Américain, Barack Obama, Sanosuke et Mael vont entreprendre des lois qui accentuent la démocratie dans la Nation. C'est ainsi que nait le Référendum à Simland, toujours espéré, il a fait parti de nombreuses campagnes présidentielles à travers l'histoire mais c'est véritablement la première fois qu'il est réellement mis en place.

Le Référendum est associé directement à une des plus importantes lois du Mandat Sanosuke, la Vice-Présidence. Par soucis de démocratie, les pouvoirs présidentiels ne sont plus dans les mains d'un seul homme mais de deux, le Président et le Vice-Président qui devient réellement le n°2 du Pays alors que précédemment, le Premier Ministre ne semblait pas être le n°2 du Pays.

Lors du mois de Décembre, le Gouvernement mis en place un forum dédié aux Festivités des 5 ans de Simland. Ce fut un réel succès auprès de tout les citoyens. Le Président avait invité tout les Anciens Présidents, Ministres en place et Gouverneurs, à faire des discours. Mais, malheureusement, le Black-out du mois de Décembre 2008 supprima toutes les festivités mis en place. Le Président, principal organisateur de l'évenement, du annoncer que les topics ne seraient pas remis en place par manque de temps. La Seconde Partie du Mandat a été caractérisée par l'absence du Président, en periode d'examens. Bien qu'il passait de temps en temps, c'est le Vice-Président qui gérait les principaux dossiers dont les Récompenses, la Pétition Populaire...

En ce qui concerne la Politique Exterieure, Sanosuke accompagné de Mael et de Seto a démarré le Projet des ambassades, concrétisé lors du Gouvernement suivant, et à effectué des visites Présidentielles dans les autres pays du Globe, notamment aux Etats Unis d'Amérique, où Sanosuke et Barack H. Obama ont pu réellement exprimer l'amitié Simlando-Américaine.

Sanosuke aux Nations Unies

Désigné par le Président Jardas au cours du mois de Janvier 2011, Sanosuke prit ses fonctions, en promettant de redynamiser le secteur de l'ONU à Simland et d'affirmer le soutien simlandais aux Nations Unies. Après avoir été à la suite Ministre des Affaires Etrangères puis Juge Fédéral en 2011 et 2012, Sanosuke est de nouveau nommé ambassadeur aux Nations Unies par le Président Halotime


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2007

Septembre : Première démarche auprès des Nations Unies pour l'adhésion par le Président Djay

2008

Janvier : Entrée officielle avec un discours du Président Max à la Tribune de l'Assemblée Générale

Signature du Protocole de Kyoto

Intervention de soldats simlandais sous l'égide des Casques Bleus au Kenya

2009

Juillet : Un foyer de l'UNICEF ouvre à Green Hills

Septembre : Nomination de Ben Quo en tant que Représentant Permanent de Simland auprès des Nations Unies

Septembre : Une délégation représente Simland lors de la 64e Session de l'Assemblée Générale

Septembre : Soutien aux propositions du G20 de Pittsburgh

Septembre : Un foyer de l'UNICEF ouvre à Green Hills

Octobre : Ben Quo et la délégation ont fait part de leurs félicitations à Barack H. Obama pour son Prix Nobel de la Paix

Octobre : Ben Quo condamne fermement les attentats de Kaboul contre un foyer des Nations Unies

Octobre : Le Ministre des Affaires Etrangères Aachenar fait part du soutien du gouvernement aux familles des victimes (dont 3 simlandais) de l'attentat de Peshawar

Novembre : Visite diplomatique en Israël

Décembre : Inauguration de la permanence simlandaise à New York

Décembre : Pré-Réveillon à la permanence en compagnie notamment d'Hillary Clinton et de Bernard Kouchner

Décembre : A Utopia, la délégation a tenu un réveillon ouvert à tous

2010

Janvier : Simland soutient les sinistrés d'Haïti en envoyant des renforts et en déclarant plusieurs minutes de silence

Février : Un représentant de l'Union Européenne à longuement discuté avec la délégation pour préparer une visite dans le courant de l'été

Juin : Après plusieurs mois de travaux effectués par Djay, le site de l'ONU est mis en ligne

2011

Janvier : Prise de Fonctions du nouvel ambassadeur Sanosuke

Février : Élaboration d'un nouveau topic officiel et renaissance de l'activité de la Représentation Permanente.

2012

Décembre : Reprise de la représentation permanente des Nations Unies


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Les Bureaux

La Représentation Permanente de Simland aux Nations Unies se trouve à New York aux Etats Unis d'Amérique.

Les Bureaux se trouve précisément au 712 5th Avenue, un immeuble de 52 étages et 198m de hauteur. La Délégation est située au 26ème étage de cette tour. Pour visiter les bureaux de la délégation, prenez contact avec nous (voir rubrique "Nous Contacter").


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A L'Assemblée Générale des Nations Unies

Simland dispose de plus d'un siège à l'Assemblée Générale des Nations Unies, siège que la Nation utilise pour voter ainsi que proposer des Résolutions dans le but de satisfaire les priorités planétaires tout en défendant les intérêts du pays.

Les sièges à l'Assemblée Générale sont placés par ordre alphabétique (en langue anglaise), vous trouverez donc le siège de Simland entre celui de la République de Sierra Leone et celui de la République de Singapour. Simland dispose de ce siège depuis 2008, date d'entrée du pays dans l'organisation.


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Au Conseil de Sécurité des Nations Unies

D'un point de vue RP, nous admettons l'intégration de Simland en tant que membre permanent au Conseil de Sécurité des Nations Unies. Ceci étant pour faciliter les démarches et l'implication RP de Simland à l'ONU.

C'est un immense honneur pour Simland, qui n'a jamais autant affirmé son soutien aux Nations Unies et son désir de participer à l'élaboration d'un monde meilleur.

Siègent au Conseil de Sécurité des Nations Unies actuellement aux côtés de Simland :

Les Etats Unis, la République Populaire de Chine, Le Royaume Uni, la Russie, la France, l'Azerbaïdjan, le Guatemala, le Maroc, le Pakistan, le Togo, l'Allemagne, l'Inde, le Portugal et l'Afrique du Sud.


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Au Conseil Économique et Social des Nations Unies

Simland fait partie du Conseil Economique et Social des Nations Unies.

Son rôle est d'examiner des questions dans les domaines économiques, social, culturel, éducatif, de santé publique, de développement durable, et tout autre domaine apparenté à ces derniers. Il entretient également des liens étroits avec les ONG dans les domaines de sa compétence.


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Adresse du siège des Nations Unies au sein du Territoire International de Manhattan à New York :

UN Headquarters
First Avenue at 46th Street
New York, NY 10017
USA

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Dernière édition par Sanosuke le 11 Fév 2011, 16:53, édité 1 fois.



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"Tous les États Membres de l’Organisation des Nations Unies sont représentés à l’Assemblée générale. Chaque État, qu’il soit riche ou pauvre, petit ou grand, dispose d’une voix."

Présentation


L’Assemblée générale est le principal organe délibérant, directeur et représentatif de l’ONU. Composée des représentants des 192 États Membres de l’Organisation, elle offre un forum multilatéral de discussion unique sur tout l’éventail des questions internationales abordées dans la Charte. L’Assemblée tient chaque année une session ordinaire intensive de septembre à décembre, qui peut au besoin se prolonger au-delà de cette période.

Fonctionnement
(Extrait du Site Officiel de l'Assemblée Générale)

Fonctionnement de l'Assemblée générale
Une tribune pour les négociations multilatérales

Créée par la Charte des Nations Unies en 1945, l’Assemblée générale occupe une position centrale en tant que principal organe délibérant, directeur et représentatif de l’ONU. Composée des représentants des 192 États Membres de l’Organisation, elle offre un forum multilatéral de discussion unique sur tout l’éventail des questions internationales abordées dans la Charte. Elle joue en outre un rôle important dans l’établissement de règles et la codification du droit international. L’Assemblée tient chaque année une session ordinaire intensive de septembre à décembre, qui peut au besoin se prolonger au-delà de cette période.
Fonctions et pouvoirs de l’Assemblée générale

Aux termes de la Charte des Nations Unies, les fonctions et pouvoirs de l’Assemblée générale sont les suivants :

* Étudier les principes généraux de coopération pour le maintien de la paix et de la sécurité internationales, y compris les principes régissant le désarmement, et faire des recommandations sur ces principes;
* Discuter toutes questions se rattachant au maintien de la paix et de la sécurité internationales et faire des recommandations sur ces questions, sauf lorsqu’un différend ou une situation est en cours d’examen au Conseil de sécurité;
* Discuter toutes questions rentrant dans le cadre de la Charte ou se rapportant aux pouvoirs et fonctions de l’un quelconque des organes de l’Organisation et, avec la même exception, faire des recommandations sur ces questions;
* Demander l’établissement d’études et faire des recommandations en vue de développer la coopération internationale dans le domaine politique, d’encourager le développement progressif du droit international et sa codification, de faciliter pour tous la jouissance des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de favoriser la coopération internationale dans les domaines économique, social, humanitaire, de la culture intellectuelle et de l’éducation, et de la santé publique;
* Recommander des mesures propres à assurer l’ajustement pacifique de toute situation de nature à compromettre les relations amicales entre nations;
* Recevoir et étudier les rapports du Conseil de sécurité et des autres organes de l’Organisation;
* Examiner et approuver le budget de l’Organisation et déterminer la répartition des contributions entre les États Membres;
* Élire les membres non permanents du Conseil de sécurité et les membres d’autres conseils et organes de l’Organisation et, sur recommandation du Conseil de sécurité, nommer le Secrétaire général.

Aux termes de la résolution 377 (V) adoptée en novembre 1950 et intitulée « L’union pour le maintien de la paix » [PDF], l’Assemblée peut également prendre des mesures si le Conseil de sécurité ne parvient pas à une décision en raison du vote négatif d’un membre permanent, dans tout cas où paraît exister une menace contre la paix, une rupture de la paix ou un acte d’agression. L’Assemblée peut examiner immédiatement la question afin de faire aux Membres les recommandations appropriées sur les mesures collectives à prendre pour maintenir ou rétablir la paix et la sécurité internationales (voir Sessions extraordinaires et sessions extraordinaires d’urgence).

Bien que l’Assemblée ne puisse adresser aux États que des recommandations sur les questions internationales relevant de sa compétence, qui n’ont pas force exécutoire, elle a néanmoins pris des initiatives — dans les domaines politique, économique, humanitaire, social et juridique — qui ont touché directement des millions de personnes dans le monde entier.

L’historique Déclaration du Millénaire, adoptée en 2000, et le Document final du Sommet de 2005 témoignent de la volonté desÉtats Membres d’atteindre des objectifs précis pour faire régner la paix et la sécurité, progresser vers le désarmement et favoriser le développement et la lutte contre la pauvreté; défendre les droits de l’homme et promouvoir l’état de droit; protéger l’environnement; répondre aux besoins particuliers de l’Afrique; et renforcer l’Organisation des Nations Unies.
La recherche d’un consensus

Chaque État Membre dispose d’une voix à l’Assemblée. Les décisions sur certaines questions importantes, telles que les recommandations relatives à la paix et à la sécurité et l’élection des membres du Conseil de sécurité, sont prises à la majorité des deux tiers des États Membres, mais les décisions sur les autres questions sont prises à la majorité simple.

Ces dernières années, les États Membres ont fait un effort particulier pour prendre les décisions par consensus, plutôt que de les mettre aux voix, ce qui a contribué à élargir le soutien apporté aux décisions de l’Assemblée. À cet effet, le Président consulte les délégations pour déterminer si elles sont prêtes à adopter une résolution sans vote.

Comptes Rendus des Sessions

67e (2012-2013) - En cours
66e (2011-2012) - Ici
65e (2010-2011) - Ici
64e (2009-2010) - Ici
63e (2008-2009) - Ici
62e (2007-2008) - Ici
61e (2006-2007) - Ici
60e (2005-2006) - Ici
59e (2004-2005) - Ici
58e (2003-2004) - Ici
57e (2002-2003) - Ici
56e (2001-2002) - Ici
55e (2000-2001) - Ici


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11 Fév 2011, 16:34
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Présentation
(Extrait du Site Officiel du Conseil de Sécurité)


Le Conseil de sécurité, aux termes de la Charte, a la responsabilité principale du maintien de la paix et de la sécurité internationales. Il est organisé de manière à pouvoir exercer ses fonctions en permanence. Chacun de ses membres doit à tout moment avoir un représentant au Siège de l'ONU. Le 31 janvier 1992 s'est tenue au Siège la première réunion au sommet de l'histoire du Conseil. Treize des 15 pays membres y étaient représentés par leur chef d'État ou de gouvernement et deux par leur Ministre des affaires étrangères. Le Conseil peut se réunir ailleurs qu'au Siège; ainsi, en 1972, il a tenu une session à Addis-Abeba et, l'année suivante, à Panama.

Lorsqu'il est saisi d'une plainte concernant une situation qui menace la paix, le Conseil commence habituellement par recommander aux parties de chercher à se mettre d'accord par des moyens pacifiques. Dans certains cas, il enquête lui-même et apporte sa médiation. Il peut désigner des représentants spéciaux ou prier le Secrétaire général de le faire ou d'user de ses bons offices. Il peut aussi enoncer les principes d'un règlement pacifique.

Lorsqu'un différend aboutit à un conflit armé, le Conseil s'occupe avant tout d'y mettre fin le plus rapidement possible. En de multiples occasions, il a donné des directives de cessez-le-feu qui ont permis d'éviter l'extension des hostilités. Il envoie également des forces des Nations Unies chargées du maintien de la paix afin d'apaiser les tensions dans les zones perturbées, de séparer les adversaires et d'instaurer les conditions de calme dans lesquelles un règlement pacifique peut être recherché. Il peut aussi décider des mesures d'exécution, des sanctions économiques (telles que les embargos commerciaux) ou une action militaire collective.

Un État Membre contre lequel le Conseil de sécurite a pris des mesures preventives à des mesures exécutoires peut se voir provisoirement privé par l'Assemblée générale, sur recommandation du Conseil, de l'exercice de ses droits et privilèges de Membre.

Tout État Membre qui persiste à violer les principes énoncés dans la Charte peut, sur recommandation du Conseil, être exclu de l'Organisation par l'Assemblée générale.

Tout État Membre de l'ONU qui n'est pas membre du Conseil de sécurité peut participer, sans droit de vote, aux débats du Conseil quand celui-ci estime que les intérêts de l'État en question sont concernés. Les États parties à un différend examiné par le Conseil, qu'ils soient ou non Membres de l'Organisation, sont invités à prendre part, sans droit de vote, aux débats du Conseil. Le Conseil de sécurité détermine les conditions de participation d'un État qui n'est pas membre de l'Organisation.

Programme de Travail du Conseil de Sécurité

Décembre 2012 - Format PDF


Rapports Annuels du Conseil de Sécurité
(au Format PDF)


2010-2011
2009-2010
2008-2009
2007-2008


Membres du Conseil de Sécurité des Nations Unies (au 1er Janvier 2012)

Les Etats Unis, la République Populaire de Chine, Le Royaume Uni, la Russie, la France, l'Azerbaïdjan, le Guatemala, le Maroc, le Pakistan, le Togo, l'Allemagne, l'Inde, le Portugal et l'Afrique du Sud et Simland.


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"Il y a actuellement 16 opérations de Maintien de la Paix en cours dans le Monde"

Le Maintien de la Paix


Le maintien de la paix des Nations Unies est un instrument unique et dynamique conçu par l’Organisation en vue d’aider les pays en proie à des conflits à créer les conditions d’une paix durable. La première mission de maintien de la paix de l’ONU a été créée en 1948, lorsque le Conseil de sécurité a autorisé le déploiement d’observateurs militaires au Proche-Orient afin de superviser la mise en œuvre de l’accord d’armistice signé entre Israël et ses voisins arabes.

L’expression « maintien de la paix » ne figure pas dans la Charte des Nations Unies et ne peut être expliquée par une simple définition. Dag Hammarskjöld, le deuxième Secrétaire général des Nations Unies, a fait référence au maintien de la paix comme s’inscrivant sous le Chapitre « six et demi » de la Charte, entre les méthodes traditionnelles de résolution pacifique des différends, telles que la négociation et la médiation placées sous le Chapitre VI, et les actions plus coercitives autorisées sous le Chapitre VII.

Au fil des ans, le maintien de la paix des Nations Unies a évolué de manière à répondre aux exigences posées par différents conflits et un paysage politique changeant. Né à l’époque où les rivalités de la Guerre froide paralysaient régulièrement le Conseil de sécurité, le maintien de la paix avait comme principaux objectifs le maintien de cessez-le-feu et la stabilisation des situations sur le terrain afin que les efforts entrepris au niveau politique puissent aboutir à un règlement pacifique des conflits. Ces missions étaient composées d’observateurs militaires et de troupes légèrement armées ayant des fonctions de supervision, de préparation de rapports et d’établissement de la confiance en appui aux cessez-le-feu et à des accords de paix limités.

Avec la fin de la Guerre froide, le contexte stratégique du maintien de la paix des Nations Unies a profondément changé, conduisant l’Organisation à modifier et étendre ses opérations sur le terrain de missions « traditionnelles » impliquant des tâches strictement militaires à des entreprises pluridimensionnelles complexes destinées à veiller à la mise en œuvre d’accord de paix globaux et à aider à bâtir les fondations d’une paix durable. Aujourd’hui, les soldats de la paix entreprennent une grande diversité de tâches complexes, allant de l’appui à la mise en place d’institutions de gouvernance durables, la surveillance des droits de l’homme, la réforme du secteur de la sécurité au désarmement, à la démobilisation et la réinsertion des anciens combattants.

La nature des conflits a également changé au cours de ces dernières années. Initialement conçu comme un moyen de régler des conflits inter-étatiques, le maintien de la paix a progressivement été appliqué aux conflits intra-étatiques et aux guerres civiles. Bien que les soldats demeurent l’épine dorsale de la plupart des opérations de maintien de la paix, celles-ci se composent également d’administrateurs, d’économistes, de policiers, d’experts juridiques, de démineurs, d’observateurs électoraux, d’observateurs des droits de l’homme, de spécialistes dans les domaines des affaires civiles, de la gouvernance ainsi que des employés humanitaires et des experts en communication et en information publique.

Le maintien de la paix des Nations Unies continue d’évoluer, tant sur le plan conceptuel qu’opérationnel, afin de relever les nouveaux défis et réalités politiques. Face à la demande croissante pour des opérations de paix de plus en plus complexes, les Nations Unies ont vu, ces dernières années, leurs capacités utilisées à leurs limites d’une manière qui est sans précédent .L’Organisation s’est activement employée à renforcer ses capacités de gestion et d’appui aux opérations sur le terrain et, de cette façon, a contribué à la fonction la plus importante des Nations Unies: le maintien de la paix et de la sécurité.


Les Opérations

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Implication de Simland dans le Maintien de la Paix


Au 1er Février 2011, Simland participe à 7 des 14 opérations de maintien de la paix (OMP) des Nations unies avec 4480 personnels (dont 4300 militaires, 120 policiers civils et 40 observateurs militaires).

Simland participe aux Missions suivantes :

- MINUSTAH (Haïti)
- MINUK (Kosovo)
- UNFICYP (Chypre)
- UNMOGIP (Inde et Pakistan)
- ONUST (Moyen-Orient)
- MINUAD (Darfour)
- MONUSCO (Rep Dem. du Congo)


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11 Fév 2011, 17:13
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Le Conseil Economique et Social
(Extrait du Site Officiel de l'ECOSOC)


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Informations générales sur l'ECOSOC
Le Conseil économique et social est, aux termes de la Charte des Nations Unies, l’organe principal de coordination des activités économiques, sociales et apparentées des 14 institutions spécialisées de l’ONU, des commissions techniques et des cinq commissions régionales. Il reçoit par ailleurs des rapports de 11 fonds et programmes des Nations Unies. Il sert d’instance principale pour l’examen des questions économiques et sociales internationales et pour l’élaboration de recommandations pratiques sur ces questions à l’intention des États Membres et du système des Nations Unies dans son ensemble. Il est chargé de :

* promouvoir une élévation du niveau de vie, le plein emploi et le progrès économique et social;
* trouver des solutions aux problèmes économiques, sociaux et sanitaires internationaux;
* faciliter la coopération internationale dans les domaines de la culture et de l’éducation, et
* favoriser le respect universel des droits de l'homme et des libertés fondamentales.

Il est habilité à réaliser ou à faire faire des études et des rapports sur ces questions, et à contribuer à la préparation et à l’organisation des grandes conférences internationales dans les domaines économique et social et dans d’autres domaines apparentés et à faciliter le suivi coordonné de ces conférences. Un mandat aussi vaste donne au Conseil la haute main sur plus de 70 % des ressources humaines et financières de l’ensemble du système des Nations Unies.

Le Conseil économique et social à l’oeuvre

Dans l’exécution de son mandat, le Conseil économique et social consulte des universitaires, des représentants du monde des affaires et plus de 2 100 organisations non gouvernementales enregistrées EN. Il tient une session de fond de quatre semaines au mois de juillet de chaque année, une fois à New York et une fois à Genève. La session comprend un débat de haut niveau, un débat consacré aux questions de coordination, un débat consacré aux activités opérationnelles, un débat consacré aux affaires humanitaires et un débat consacré aux questions diverses.

Le débat de haut niveau est l’instance où des ministres et les chefs de secrétariat des organisations internationales et de hauts fonctionnaires, ainsi que les représentants de la société civile et du secteur privé examinent les questions qui préoccupent au plus haut point la communauté internationale dans le domaine du développement économique, social et environnemental. Le Sommet mondial tenu en 2005 a confié au Conseil deux nouvelles fonctions, à savoir l’Examen ministériel annuel et le Forum pour la coopération en matière de développement. À la fin du débat de haut niveau, une déclaration ministérielle est adoptée, qui contient des orientations sur la politique à mener et des recommandations concernant les mesures à prendre.
Salle du Conseil économique et social

Les manifestations du Conseil économique et social se tiennent dans la Salle du Conseil économique et social. L'aménagement de cette salle a été offert par la Suède. Elle a été conçue par l’architecte suédois Sven Markelius, l’un des 11 architectes de l’équipe internationale qui a conçu le Siège de l’ONU.

Le Conseil économique et social joue depuis quelques années un rôle de direction dans certains grands domaines d’action :

* La session de fond 2008 a été marquée par l'inauguration du Forum de la coopération en matière de développement et par le deuxième Examen ministériel annuel, qui portait en 2008 sur le développement durable. Il s’est soldé par l’adoption d’une Déclaration. Le président de l’ECOSOC, M. Léo Mérorès, a qualifié cette session comme étant « historique », en ce sens qu’elle a donné effet aux nouvelles fonctions du Conseil dans leur intégralité.
* Au cours du débat de haut niveau de 2007 s'est tenu le premier Examen ministériel annuel et le Forum pour la coopération en matière de développement a été inauguré . Pendant l’Examen ministériel annuel, le Conseil a fait le bilan des progrès accomplis dans la réalisation de l’OMD, notamment par le biais des exposés nationaux présentés volontairement par six pays en développement, à savoir le Bangladesh, la Barbade, le Cambodge, le Cap-Vert, l’Éthiopie et le Ghana. L’adoption de la Déclaration ministérielle du Conseil économique et social a été l’occasion pour la communauté internationale de réaffirmer sa détermination à tout faire pour éliminer la pauvreté et la faim d’ici à la date convenue de 2015.
* Le débat de haut niveau de 2006 s’est concentré sur les questions liées au plein emploi productif et à un travail décent, et à leurs incidences sur le développement durable. La Déclaration ministérielle du Conseil économique et social de 2006 a recensé un certain nombre de mesures concrètes à prendre pour poursuivre la mise en oeuvre du Sommet mondial de 2005 afin de faire du plein emploi productif et du travail décent l’un des principaux objectifs des politiques nationales et internationales.
* Le débat de haut niveau de 2005 a, avec le débat consacré aux questions de coordination, apporté une contribution importante au Sommet mondial de 2005 en ce qui concerne les progrès réalisés dans la mise en oeuvre de la Déclaration du Millénaire, y compris dans la réalisation des objectifs de développement convenus au niveau international et la concrétisation du partenariat mondial pour le développement dont dépend la réalisation de ces objectifs.
* Le débat de haut niveau de 2004 s’est focalisé sur les pays les moins avancés (PMA) et la mobilisation des ressources, ainsi que sur la création d’un environnement propice à l’élimination de la pauvreté. Le dialogue de haut niveau du Conseil a aidé à mettre en lumière les problèmes spécifiques des PMA. Il a également débouché sur l'inauguration d’une initiative rurale au Bénin EN.
* Le débat de haut niveau de 2003, consacré à la promotion d’une approche intégrée du développement rural dans les pays en développement propre à éliminer la pauvreté et à promouvoir un développement durable, a conduit à accorder une attention accrue à cette question et à lancer l'Alliance des Nations Unies entre les organismes publics et privés pour le développement rural PDF, dont le premier pays pilote était le Madagascar.
* Le débat de haut niveau de 2002 a abouti à l’adoption d’une résolution innovante sur la contribution des ressources humaines, en particulier dans le domaine de la santé et de l’éducation au développement.
* L’examen du développement africain auquel a procédé le débat de haut niveau de 2001 a débouché sur la première sanction internationale officielle du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD).
* La Déclaration ministérielle adoptée à l’issue du débat de haut niveau de 2000 a proposé de prendre des mesures spécifiques pour remédier à la fracture numérique, ce qui a débouché directement sur la création en 2001 du Groupe d’étude des technologies de l’information et des communications EN.
* Le débat de haut niveau de 1999 a publié un Manifeste sur l’élimination de la pauvreté qui, à bien des égards, préfigurait la formulation des objectifs du Millénaire pour le développement que le Sommet du Millénaire a approuvés à New York.

En dehors des sessions de fond, le Conseil économique et social a inauguré en 1998 la tradition des réunions, au mois d’avril, avec les ministres des finances placés à la tête des principaux comités des institutions de Bretton Woods. Ces consultations ont marqué le début d’une coopération interinstitutions qui a rendu possible le succès de la Conférence internationale sur le financement du développement, tenue en mars 2002 à Monterrey (Mexique) et à l’issue de laquelle a été adopté le Consensus de Monterrey [A/CONF.198/11 - PDF].

Lors de cette conférence, le Conseil économique et social s’est vu assigner un rôle essentiel de contrôle de la mise en oeuvre du Consensus de Monterrey et d’évaluation de la suite à y donner. Les réunions mentionnées ci-dessus ont contribué à approfondir le dialogue entre l’Organisation des Nations Unies et les institutions financières et commerciales internationales. Elles ont aussi permis de renforcer leur collaboration en vue de la réalisation des objectifs de développement convenus au niveau international, y compris les objectifs du Millénaire pour le développement dont l’origine remonte aux conférences mondiales tenues depuis le milieu des années 90.

La participation aux réunions s’est élargie depuis la première réunion de 1998. Ces réunions sont à présent ouvertes au Conseil général de l’Organisation mondiale du commerce et au Conseil du commerce et du développement de la la CNUCED, en plus d’être ouvertes au président du Comité du développement de la Banque mondiale et du président du Comité monétaire et financier international du Fonds monétaire international.


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La Cour Internationale de Justice
(Extrait du Site Officiel de la Cour)


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Présentation

La Cour internationale de Justice (CIJ) est l’organe judiciaire principal de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Elle a été instituée en juin 1945 par la Charte des Nations Unies et a entamé son activité en avril 1946.

La Cour a son siège au Palais de la Paix, à La Haye (Pays-Bas). C’est le seul des six organes principaux des Nations Unies à ne pas avoir son siège à New York (Etats-Unis d’Amérique).

La mission de la Cour est de régler, conformément au droit international, les différends d’ordre juridique qui lui sont soumis par les Etats et de donner des avis consultatifs sur les questions juridiques que peuvent lui poser les organes et les institutions spécialisées de l’Organisation des Nations Unies autorisés à le faire.

La Cour se compose de quinze juges, qui sont élus pour un mandat de neuf ans par l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité des Nations Unies. Elle est assistée du Greffe, son organe administratif. Ses langues officielles sont le français et l’anglais.

Informations Pratiques

La Cour a son siège au Palais de la Paix à La Haye (Pays-Bas) depuis 1946. Sa devancière, la Cour permanente de Justice internationale, occupait déjà depuis 1922 les locaux mis à sa disposition au Palais par la Fondation Carnegie, qui en est le propriétaire et l’administrateur.

Construit de 1907 à 1913 pour la Cour permanente d’arbitrage grâce à un don d’Andrew Carnegie, industriel d’origine écossaise ayant fait fortune aux Etats-Unis, le Palais de la Paix est situé dans un domaine verdoyant de 7 hectares au cœur de la ville.

L’édifice, érigé sur les plans de l’architecte français Louis Cordonnier dans un style éclectique, essentiellement néo-renaissance, est fait de granit, de grès et de briques rouges surmontés d’un imposant toit d’ardoises grises. La façade, devant laquelle s’étendent des pelouses, est ornée d’une série de personnages évoquant la justice et la paix. Sur la gauche, la tour de l’horloge avec son carillon s’élève jusqu’à 80 mètres. A l’intérieur, boiseries, vitraux, mosaïques, tapisseries et objets d’art offerts par les Etats qui ont participé aux conférences de la paix de La Haye reflètent la diversité des cultures.

En 1978, une nouvelle aile abritant la salle de délibération de la Cour et les bureaux de ses membres a été construite à l’arrière du Palais. Cette aile a été agrandie en 1997 en vue, notamment, d’accueillir le nombre accru de juges ad hoc. La même année, les combles du Palais ont été aménagés pour y installer de nouveaux bureaux pour les fonctionnaires du Greffe.

Le Palais qui, outre la Cour permanente d’arbitrage et la Cour internationale de Justice, abrite aussi l’une des plus grandes bibliothèques de droit international public au monde (la bibliothèque du Palais de la Paix, accessible au public, ce qui n’est pas le cas pour celle de la Cour), et accueille les cours d’été de l’Académie de droit international de La Haye, peut être visité les jours ouvrables.

Un musée sur l’histoire et l’activité des institutions présentes au Palais de la Paix a été inauguré en mai 1999 par M. Kofi Annan et M. Stephen M. Schwebel, respectivement Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies et président de la Cour à l’époque. Ce musée est situé dans l’aile sud du bâtiment.


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L'UNESCO
(Extrait du Site Officiel de l'UNESCO)


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L’UNESCO s’emploie à créer les conditions d’un dialogue entre les civilisations, les cultures et les peuples, fondé sur le respect de valeurs partagées par tous. C’est par ce dialogue que le monde peut parvenir à des conceptions globales du développement durable intégrant le respect des droits de l’homme, le respect mutuel et la réduction de la pauvreté, tous ces points étant au coeur de la mission de l’UNESCO et de son action.

Les grandes orientations et les objectifs concrets de la communauté internationale – tels qu’énoncés dans les objectifs de développement convenus au niveau international, notamment les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) – sous-tendent toutes les stratégies et activités de l’UNESCO. Ainsi, les compétences uniques de l’UNESCO dans les domaines de l’éducation, des sciences, de la culture, de la communication et de l’information contribuent à la réalisation de ces buts.

La mission de l’UNESCO est de contribuer à l’édification de la paix, à l’élimination de la pauvreté, au développement durable et au dialogue interculturel par l’éducation, les sciences, la culture, la communication et l’information. L’Organisation se concentre, en particulier, sur deux priorités globales :

• l’Afrique
• l’égalité entre les sexes.

Et plusieurs objectifs primordiaux :

• assurer une éducation de qualité pour tous et l’apprentissage tout au long de la vie
• mobiliser le savoir et la politique scientifiques au service du développement durable
• faire face aux nouveaux défis sociaux et éthiques
• promouvoir la diversité culturelle, le dialogue interculturel et une culture de la paix
• édifier des sociétés du savoir inclusives grâce à l’information et à la communication


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L'UNICEF
(Extrait du Site de l'UNICEF)


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L'UNICEF, Fondation des Nations Unies pour la Protection de l'Enfance, s'est donné des objectifs prioritaires :

* l'éducation des filles,
* la vaccination et la lutte contre le SIDA,
* la protection de l'enfance,
* la santé des nouveau-nés.


Les autres priorités traitent de la place de l'enfant dans la famille, de la pratique sportive...
L'éducation des filles

Selon l'UNICEF, l'éducation est un outil qui a prouvé son efficacité sur l'amélioration des conditions de vie de tous, et donc des enfants. L'éducation des jeunes femmes a des effets spectaculaires sur les générations présentes et futures, notamment dans certains domaines d'action de l'organisation : la mortalité infantile, la place de l'enfant dans la famille, la vaccination et la protection de l'enfance.

Entre 2002 et 2005, l'UNICEF a décidé d'accélérer l'intégration scolaire des filles dans 25 pays-cible.

La vaccination

Selon l'UNICEF, la vaccination a des effets importants sur l'amélioration de la santé dans le monde lors des 20 dernières années. Cependant, chaque année, 2 millions d'enfants décèdent de maladies qui auraient pu être prévenues par des vaccins peu onéreux.

Les programmes de vaccination permettent en outre d'autres interventions telles que la distribution de compléments nutritifs, les traitements contre les maladies véhiculées par les moustiques. C'est l'addition de ces interventions qui rend particulièrement efficace, selon l'UNICEF, ces programmes.

La protection de l'enfance

Chaque jour, des enfants sont enrôlés de force comme soldats, travailleurs ou serviteurs. D'autres sont prostitués. Ces enfants, en plus de subir des violences physiques et/ou sexuelles et d'être exploités, sont les moins éduqués, en plus mauvaise santé et les plus pauvres. L'UNICEF appuie par ailleurs la mise en place des actions allant de la défense des enfants à la démobilisation des enfants soldats. La protection des enfants et des femmes embrasse également la question des OEV (Orphelins et enfants vulnérables) tout autant que la thématique cardinale de l'enregistrement des enfants. Sans acte de naissance, aucune pièce d'identité ne sera délivré à l'enfant, c'est alors l'accès de ce dernier à l'ensemble des services sociaux de base qui lui sera refusé.
La petite enfance

L'UNICEF travaille sur des programmes globaux, en fonction des principes suivants :

* La prévention et le traitement en matière de santé, en particulier la vaccination, la nutrition, la qualité de l'eau en direction des enfants, mais aussi ceux qui en ont la charge et toutes leurs communautés ;
* les naissances doivent être déclarées. Les enfants doivent être protégés des sévices, recevoir de l'amour, vivre dans un environnement psychosocial protecteur et recevoir une première éducation ;
* les femmes et les filles doivent avoir une bonne nutrition, une protection pour la santé, une éducation (notamment en ce qui concerne les risques pour elles et leurs enfants), un soutien familial, et leurs droits doivent être respectés. La bonne santé et la survie des mères a des conséquences directes sur la survie et la bonne santé de leurs enfants.


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L'Organisation Mondiale de la Santé
(Extrait du Site Officiel de l'OMS)


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Présentation

L’OMS est l’autorité directrice et coordonatrice, dans le domaine de la santé, des travaux ayant un caractère international au sein du système des Nations Unies.

Elle est chargée de diriger l’action sanitaire mondiale, de définir les programmes de recherche en santé, de fixer des normes et des critères, de présenter des options politiques fondées sur des données probantes, de fournir un soutien technique aux pays et de suivre et d’apprécier les tendances en matière de santé publique.

Au 21ème siècle, la santé est une responsabilité partagée qui suppose un accès équitable aux soins essentiels et la défense collective contre des menaces transnationales.

Programme d'Actions

1. Promouvoir le développement
Au cours des dix dernières années, la santé a pris une place sans précédent comme moteur du progrès socio-économique, et l’on n’a jamais autant investi dans la santé. Pourtant, la pauvreté continue d’entretenir les problèmes de santé et ceux-ci à leur tour maintiennent une grande partie de la population dans la pauvreté. Le développement sanitaire s’inspire du principe éthique d’équité : nul ne devrait être privé d’accès à des interventions salvatrices ou de promotion de la santé pour des raisons injustes, y compris d’ordre social ou économique. Le respect de ce principe garantit que les activités de l’OMS en matière de développement sanitaire donnent la priorité à l’obtention de résultats dans les groupes pauvres, défavorisés ou vulnérables. La réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement liés à la santé, la prévention et le traitement des maladies chroniques et la prise en charge des maladies tropicales négligées sont les pierres angulaires du programme d’action en matière de santé et de développement.

2. Favoriser la sécurité sanitaire
La vulnérabilité commune face aux menaces pour la sécurité sanitaire exige une action collective. L’une des principales menaces pour la sécurité sanitaire internationale découle des flambées de maladies émergentes et à propension épidémique. Ces flambées sont de plus en plus nombreuses, favorisées par des facteurs comme l’urbanisation rapide, le mauvais aménagement de l’environnement, les modes de production et de commercialisation des aliments et l’usage parfois mauvais des antibiotiques. L’aptitude des pays à se défendre collectivement contre les flambées de maladies sera renforcée dès juin 2007 avec l’entrée en vigueur du Règlement sanitaire international révisé.

3. Renforcer les systèmes de santé
Si l’on veut que l’amélioration de la santé serve à lutter contre la pauvreté, les services de santé doivent atteindre les populations pauvres et mal desservies. Or, les systèmes de santé de nombreuses régions du monde ne sont pas en mesure de le faire, c’est pourquoi le renforcement des systèmes de santé est une priorité absolue pour l’OMS. Il s’agit notamment de veiller à l’existence d’effectifs suffisants de personnel qualifié, à un financement suffisant, à mettre en place des systèmes adaptés de collecte des statistiques démographiques et à favoriser l’accès à des technologies appropriées, y compris les médicaments essentiels.

4. Exploiter la recherche, l’information et les données factuelles
C’est sur la base de données probantes que les priorités doivent être fixées, les stratégies définies et les résultats mesurés. L’OMS produit des informations sanitaires faisant autorité, en consultation avec des experts éminents, afin d’établir des normes et des critères, d’énoncer des orientations sur la base de données probantes et de suivre l’évolution de la situation sanitaire mondiale.

5. Renforcer les partenariats
L’OMS s’acquitte de son mandat avec l’appui et la collaboration de nombreux partenaires, y compris des institutions des Nations Unies et d’autres organisations internationales, des donateurs, la société civile et le secteur privé. L’OMS utilise la valeur stratégique des données factuelles pour encourager ses partenaires à mettre en oeuvre des programmes à l’intérieur des pays afin d’aligner leurs activités sur les meilleures pratiques et directives techniques ainsi que sur les priorités établies par les pays.

6. Améliorer la performance
L’OMS participe aux réformes en cours pour améliorer son efficience et son efficacité, tant au niveau international qu’à l’intérieur des pays. Elle a pour but de faire en sorte que son atout majeur - son personnel – puisse travailler dans un environnement motivant et gratifiant. L’OMS prévoit son budget et ses activités dans le cadre d’une gestion fondée sur les résultats, et fixe des résultats escomptés pour mesurer la performance au niveau des pays ainsi qu’aux niveaux régional et international.


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11 Fév 2011, 17:45
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La Représentation Permanente de Simland à l'ONU déménagera en 2013



Sanosuke, actuel Ambassadeur de Simland à l'ONU, a signé aujourd'hui un document important dans l'histoire de la délégation, le contrat de location avec la Port Authorithy of New York & New Jersey pour les nouveaux locaux de la délégation Simlandaise.

Actuellement située au 26ème étage du 712, 5th Avenue à New York, les bureaux de la délégation se révèlent trop exigus pour accueillir tous les services, à tel point que certains doivent être délocalisés dans la résidence de l'ambassadeur dans la banlieue New Yorkaise.

Face à ce manque de place évident, la Délégation Simlandaise est entrée en contact avec la Port Authority afin de louer des locaux plus appropriés à ses besoins.

La décision a été prise : La Délégation Simlandaise déménagera en 2013 dans le One World Trade Center (plus connu sous le nom de Freedom Tower/Tour de la Liberté), actuellement en construction dans le Sud de Manhattan.

Ce choix ne fut pas fait par hasard d'après l'ambassadeur Sanosuke : "Cet édifice est bien plus qu'un simple bâtiment, c'est un symbole, rien que son nom est évocatif "Tour de la Liberté", la Liberté, c'est sur ce concept allié à la démocratie que s'est bâtie notre nation, et c'est les concepts de paix et de liberté qui ont fondés les Nations Unies. Pouvions nous rêver d'un meilleur lieu pour la délégation? Je ne le pense pas".

C'est ainsi que la Délégation Simlandaise siègera aux 80 et 81e étages du One World Trade Center, dans cette tour qui mesurera plus de 541m.


La Tour actuellement en construction :

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12 Fév 2011, 20:35
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Libye : il faut punir ceux qui font couler le sang d'innocents

« La violence doit cesser. Ceux qui font brutalement couler le sang d'innocents doivent être punis », a déclaré mercredi après-midi le Secrétaire général Ban Ki-moon, lors d'un point de presse au siège de l'ONU, à New York, au sujet de la situation en Libye.

De retour de Los Angeles, où il a écourté une visite en raison de la répression par les autorités libyennes des manifestations qui agitent le pays depuis plusieurs jours, Ban Ki-moon s'est dit « gravement préoccupé » par la situation qu'il a qualifié d'« imprévisible » et susceptible d'évoluer « dans différentes directions, dont beaucoup sont dangereuses ».

« A ce moment critique, il est impératif que la communauté internationale maintienne son unité et agisse ensemble pour assurer une transition prompte et pacifique », a-t-il poursuivi, avant de rappeler que « les attaques contres des civils constituent de sérieuses violations des droits de l'homme et du droit humanitaire international ». « Je les condamne avec force. Ceux qui sont responsables doivent rendre des comptes », a-t-il encore insisté.

Le Secrétaire général a salué les messages « forts et sans équivoques » envoyés respectivement par le Conseil de sécurité de l'ONU et la Ligue des Etats arabes : « pas de violence et respect des droits de l'homme ».

Mardi, dans une déclaration commune, les 15 membres du Conseil de sécurité ont en effet condamné fermement la répression et les attaques contre des civils. Même fermeté du côté de la Ligue des Etats arabes, qui a suspendu la Libye de l'organisation régionale panarabe.

« Le monde a parlé d'une seule voix : le gouvernement de Libye doit assumer sa responsabilité de protéger son peuple », a encore martelé Ban Ki-moon devant la presse. Il a salué « la décision du Conseil des droits de l'homme d'organiser une réunion spéciale vendredi, incluant la possibilité de créer une commission d'enquête internationale sur la situation en Libye ».

« Nous restons extrêmement préoccupés par la situation humanitaire », a conclu le Secrétaire général de l'ONU, qui s'est rangé derrière l'appel lancé plus tôt dans la journée par le Haut commissariat aux réfugiés de l'ONU, qui demande « aux pays voisins de la Libye, en Europe et en Afrique du nord, de ne pas renvoyer chez eux ceux qui fuient leur pays ».

(Source Communiqué Officiel des Nations Unies, daté du 23/02/2011)

NOTE ADDITIONELLE

La Représentation Permanente informe aussi les citoyens de Simland qu'une réunion officielle à propos de la situation actuelle en Libye devrait avoir lieu au Conseil de Sécurité des Nations Unies dans les prochaines 48h, le programme quotidien en début de topic le confirmera.

La Représentation Permanente informe aussi les citoyens de Simland qu'elle votera en faveur de sanctions à l'encontre du régime Libyen. A en croire les discussions informelle, l'ensemble du conseil de sécurité est d'accord sur ce point.

L'Ambassadeur


24 Fév 2011, 22:52
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Résolution 1970 du Conseil de Sécurité à propos de la Paix en Afrique

Cette résolution a été adoptée le 26 février 2011, lors de la 6491e séance du Conseil de Sécurité.

La Représentation Permanente de Simland a voté :


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La Résolution a été adoptée à l'unanimité par le Conseil de Sécurité des Nations Unies. Elle consiste en un embargo sur la Vente d'Armes à la Libye, la Saisie de la Cour Pénale Internationale ainsi que l'interdiction de circuler et le gel des avoirs du pouvoir libyen.

La Représentation Permanente se tiens à votre service pour de plus amples renseignements. Ci-dessous vous pouvez consulter l'ensemble de la dite Résolution.

L'Ambassadeur


Citer:
Le Conseil de sécurité,

Se déclarant gravement préoccupé par la situation en Jamahiriya arabe
libyenne, et condamnant la violence et l’usage de la force contre des civils,

Regrettant vivement les violations flagrantes et systématiques des droits de
l’homme, notamment la répression exercée contre des manifestants pacifiques,
exprimant la profonde préoccupation que lui inspire la mort de civils et dénonçant
sans équivoque l’incitation à l’hostilité et à la violence émanant du plus haut niveau
du Gouvernement libyen et dirigée contre la population civile,

Accueillant avec satisfaction la condamnation, par la Ligue arabe, l’Union
africaine et le Secrétaire général de l’Organisation de la Conférence islamique, des
violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire qui
sont commises en Jamahiriya arabe libyenne,

Prenant note de la lettre datée du 26 février 2011 adressée à son Président par
le Représentant permanent de la Jamahiriya arabe libyenne auprès de l’Organisation
des Nations Unies,

Accueillant avec satisfaction la résolution A/HRC/S-15/2 du Conseil des droits
de l’homme en date du 25 février 2011, notamment la décision d’envoyer d’urgence
une commission internationale indépendante pour enquêter sur toutes les violations
présumées du droit international des droits de l’homme commises en Jamahiriya
arabe libyenne établir les faits et les circonstances de ces violations ainsi que des
crimes perpétrés et, dans la mesure du possible, en identifier les responsables,

Considérant que les attaques systématiques et généralisées actuellement
commises en Jamahiriya arabe libyenne contre la population civile pourraient
constituer des crimes contre l’humanité,

Se déclarant préoccupé par le sort tragique des réfugiés forcés de fuir la
violence en Jamahiriya arabe libyenne,
Se déclarant préoccupé également par les informations faisant état de pénuries
de fournitures médicales pour soigner les blessés,

Rappelant que les autorités libyennes ont la responsabilité de protéger le
peuple libyen,

Soulignant la nécessité de respecter la liberté de réunion pacifique et la liberté
d’expression, y compris la liberté de la presse,

Soulignant également que les auteurs des attaques perpétrées contre des civils,
y compris les attaques menées par des forces placées sous leur contrôle, doivent être
amenés à répondre de leurs actes,

Rappelant l’article 16 du Statut de Rome, selon lequel aucune enquête ni
aucune poursuite ne peuvent être engagées ni menées par la Cour pénale
internationale pendant les 12 mois qui suivent la date à laquelle le Conseil de
sécurité a fait une demande en ce sens,

Se déclarant inquiet pour la sécurité des étrangers et leurs droits en Jamahiriya
arabe libyenne,

Réaffirmant son ferme engagement pour la souveraineté, l’indépendance,
l’intégrité territoriale et l’unité nationale de la Jamahiriya arabe libyenne,

Conscient de la responsabilité principale du maintien de la paix et de la
sécurité internationales qui lui est assignée par la Charte des Nations Unies,

Agissant en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies et prenant
des mesures au titre de son article 41,

1. Exige qu’il soit immédiatement mis fin à la violence et demande que des
mesures soient prises pour satisfaire les revendications légitimes de la population;

2. Exhorte les autorités libyennes :
a) À faire preuve de la plus grande retenue, à respecter les droits de
l’homme et le droit international humanitaire, et à donner aux observateurs
internationaux des droits de l’homme un accès immédiat au pays;
b) À garantir la sécurité de tous les étrangers et de leurs biens et à faciliter
le départ de ceux qui souhaitent quitter le pays;
c) À veiller à ce que les fournitures médicales et humanitaires et les
organismes et travailleurs humanitaires puissent entrer dans le pays en toute
sécurité; et
d) À lever immédiatement les restrictions imposées aux médias de tous
types;

3. Prie tous les États Membres, dans la mesure du possible, de coopérer à
l’évacuation des étrangers qui souhaitent quitter le pays;

Saisie de la Cour pénale internationale

4. Décide de saisir le Procureur de la Cour pénale internationale de la
situation en Jamahiriya arabe libyenne depuis le 15 février 2011;

5. Décide que les autorités libyennes doivent coopérer pleinement avec la
Cour et le Procureur et leur apporter toute l’assistance voulue, en application de la
présente résolution et, tout en reconnaissant que le Statut de Rome n’impose aucune
obligation aux États qui n’y sont pas parties, demande instamment à tous les États et
à toutes les organisations régionales et internationales concernées de coopérer
pleinement avec la Cour et le Procureur;

6. Décide que les ressortissants, responsables ou personnels en activité ou
anciens responsables ou personnels, d’un État autre que la Jamahiriya arabe
libyenne qui n’est pas partie au Statut de Rome de la Cour pénale internationale sont
soumis à la compétence exclusive dudit État pour toute allégation d’actes ou
d’omissions découlant des opérations en Libye établies ou autorisées par le Conseil
ou s’y rattachant, à moins d’une dérogation formelle de l’État;

7. Invite le Procureur à l’informer, dans les deux mois suivant la date de
l’adoption de la présente résolution, puis tous les six mois, de la suite donnée à
celle-ci;

8. Convient qu’aucun des coûts afférents à la saisine de la Cour, y compris
ceux occasionnés par les enquêtes et poursuites menées comme suite à cette saisine,
ne sera pris en charge par l’Organisation des Nations Unies et que ces coûts seront
supportés par les Parties au Statut de Rome et les États qui voudraient contribuer à
leur financement à titre facultatif;

Embargo sur les armes

9. Décide que tous les États Membres doivent prendre immédiatement les
mesures nécessaires pour empêcher la fourniture, la vente ou le transfert directs ou
indirects à la Jamahiriya arabe libyenne, à partir de leur territoire ou à travers leur
territoire ou par leurs nationaux, ou au moyen de navires ou d’aéronefs battant leur
pavillon, d’armements et de matériel connexe de tous types – armes et munitions,
véhicules et matériels militaires, équipements paramilitaires et pièces détachées
correspondantes –, ainsi que toute assistance technique ou formation, et toute aide
financière ou autre en rapport avec les activités militaires ou la fourniture,
l’entretien ou l’utilisation de tous armements et matériel connexe, y compris la mise
à disposition de mercenaires armés venant ou non de leur territoire, et décide
également que cette mesure ne s’appliquera pas :
a) Aux fournitures de matériel militaire non létal destiné exclusivement à
un usage humanitaire ou de protection et à l’assistance technique ou la formation
connexes qui auront été approuvées à l’avance par le Comité créé en application du
paragraphe 24 ci-après;
b) Aux vêtements de protection, dont les gilets pare-balles et les casques
militaires, temporairement exportés en Jamahiriya arabe libyenne, pour leur usage
personnel uniquement, par des personnels des Nations Unies, des représentants des
médias et des agents humanitaires et du développement ou des personnels connexes;
c) Aux autres ventes ou fournitures d’armements et de matériel connexe, ou
à la fourniture d’une assistance ou de personnel, qui auront été approuvées à
l’avance par le Comité;

10. Décide que la Jamahiriya arabe libyenne doit cesser d’exporter tous
armements et matériel connexe et que tous les États Membres devront interdire
l’acquisition de ces articles auprès de la Jamahiriya arabe libyenne par leurs
ressortissants, ou au moyen de navires ou d’aéronefs battant leur pavillon, que ces
articles aient ou non leur origine dans le territoire libyen;

11. Demande à tous les États, en particulier aux États voisins de la
Jamahiriya arabe libyenne, en accord avec leurs autorités nationales et
conformément à leur législation nationale, dans le respect du droit international, en
particulier le droit de la mer et les accords pertinents sur l’aviation civile
internationale, de faire inspecter sur leur territoire, y compris dans leurs ports
maritimes et aéroports, tous les chargements à destination et en provenance de la
Jamahiriya arabe libyenne, si l’État concerné dispose d’informations donnant des
motifs raisonnables de penser que tel chargement contient des articles dont la
fourniture, la vente, le transfert ou l’exportation sont interdits par les paragraphes 9
ou 10 de la présente résolution afin de garantir une stricte application de ces
dispositions;

12. Décide d’autoriser tous les États Membres qui découvrent des articles
dont la fourniture, la vente, le transfert ou l’exportation sont interdits par les
paragraphes 9 ou 10 de la présente résolution, à les saisir et à les neutraliser (en les
détruisant, en les mettant hors d’usage, en les entreposant ou en les transférant à un
État autre que le pays d’origine ou de destination aux fins d’élimination), et décide
également que tous les États sont tenus de coopérer à cet égard;

13. Demande à tout État Membre effectuant une inspection en application du
paragraphe 11 ci-dessus de présenter au Comité, par écrit et sans délai, un rapport
initial exposant en particulier les motifs de l’inspection et les résultats de celle-ci et
faisant savoir s’il y a eu coopération ou non, et, si des articles dont le transfert est
interdit ont été découverts, demande également audit État Membre de présenter par
écrit au Comité, à une étape ultérieure, un rapport écrit donnant des précisions sur
l’inspection, la saisie et la neutralisation, ainsi que des précisions sur le transfert,
notamment une description des articles en question, leur origine et leur destination
prévue, si ces informations ne figurent pas dans le rapport initial;

14. Engage les États Membres à prendre des mesures en vue de dissuader
fermement leurs nationaux de se rendre en Jamahiriya arabe libyenne pour
participer, pour le compte des autorités libyennes, à des activités susceptibles de
contribuer à la violation des droits de l’homme;

Interdiction de voyager

15. Décide que tous les États Membres doivent prendre les mesures
nécessaires pour empêcher l’entrée ou le passage en transit sur leur territoire des
individus désignés dans l’annexe I à la présente résolution ou désignés par le
Comité créé en application du paragraphe 24 ci-après, étant entendu qu’aucune des
dispositions du présent paragraphe n’oblige un État à refuser à ses propres nationaux
l’entrée sur son territoire;

16. Décide que les mesures imposées en vertu du paragraphe 15 ci-dessus ne
s’appliquent pas dans les cas suivants :
a) Lorsque le Comité établit, au cas par cas, que le voyage se justifie par
des raisons humanitaires, y compris un devoir religieux;
b) Lorsque l’entrée ou le passage en transit sont nécessaires aux fins d’une
procédure judiciaire;
c) Lorsque le Comité établit, au cas par cas, qu’une dérogation favoriserait
la réalisation des objectifs de paix et de réconciliation nationale en Jamahiriya arabe
libyenne et de stabilité dans la région;
d) Lorsqu’un État détermine au cas par cas que l’entrée ou le passage en
transit sont indispensables à la promotion de la paix et de la stabilité en Jamahiriya
arabe libyenne et qu’il en avise en conséquence le Comité dans un délai de
quarante-huit heures après avoir établi un tel constat;

Gel des avoirs

17. Décide que tous les États Membres doivent geler immédiatement tous les
fonds, autres avoirs financiers et ressources économiques se trouvant sur leur
territoire qui sont en la possession ou sous le contrôle direct ou indirect des
individus ou entités désignés dans l’annexe II à la présente résolution ou désignés
par le Comité créé en application du paragraphe 24 ci-après, ou de tout individu ou
entité agissant pour le compte ou sur les ordres de ceux-ci, ou de toute entité en leur
possession ou sous leur contrôle, et décide en outre que tous les États Membres
doivent veiller à empêcher que leurs nationaux ou aucune personne ou entité se
trouvant sur leur territoire ne mettent à la disposition des individus ou entités
désignés dans l’annexe II à la présente résolution ou aux individus désignés par le
Comité aucuns fonds, avoirs financiers ou ressources économiques;

18. Fait part de son intention de veiller à ce que les avoirs gelés en
application du paragraphe 17 soient à un stade ultérieur mis à disposition pour le
peuple libyen et dans son intérêt;

19. Décide que les mesures prévues au paragraphe 17 ci-dessus ne
s’appliquent pas aux fonds, autres avoirs financiers ou ressources économiques dont
les États Membres concernés auront déterminé :
a) Qu’ils sont nécessaires pour régler des dépenses ordinaires, notamment
pour payer des vivres, loyers ou mensualités de prêts hypothécaires, médicaments et
soins médicaux, impôts, primes d’assurance, factures de services collectifs de
distribution, ou exclusivement pour le règlement d’honoraires d’un montant
raisonnable et le remboursement de dépenses engagées dans le cadre de services
juridiques, conformément à la législation nationale, ou des frais ou commissions
liés, conformément à la législation nationale, au maintien en dépôt de fonds, autres
avoirs financiers ou ressources économiques gelés, après que lesdits États Membres
ont informé le Comité de leur intention d’autoriser, dans les cas où cela serait
justifié, l’accès auxdits fonds, autres avoirs financiers ou ressources économiques,
et en l’absence de décision contraire du Comité dans les cinq jours ouvrables
suivant cette notification;
b) Qu’ils sont nécessaires pour régler des dépenses extraordinaires, à
condition que l’État ou les États Membres concernés en aient avisé le Comité et que
celui-ci ait donné son accord;
c) Qu’ils font l’objet d’un privilège ou d’une décision judiciaire,
administrative ou arbitrale, auquel cas les fonds, autres avoirs financiers ou
ressources économiques peuvent être utilisés à cette fin, à condition que le privilège
ou la décision soient antérieurs à la date de la présente résolution, que le créancier
privilégié ou le bénéficiaire de la décision judiciaire, administrative ou arbitrale ne
soit pas un individu ou une entité désigné par le Comité conformément au
paragraphe 17 ci-dessus et que le privilège ou la décision judiciaire, administrative
ou arbitrale aient été portés à la connaissance du Comité par l’État ou les États
Membres concernés;

20. Décide que les États Membres pourront autoriser le versement aux
comptes gelés en vertu des dispositions du paragraphe 17 ci-dessus des intérêts et
autres rémunérations acquis par ces comptes ou des paiements effectués au titre de
marchés, d’accords ou d’obligations souscrits avant la date à laquelle ces comptes
ont été assujettis aux dispositions de la présente résolution, étant entendu que ces
intérêts, rémunérations et paiements resteront assujettis auxdites dispositions et
resteront gelés;

21. Décide que les mesures prévues au paragraphe 17 ci-dessus n’interdisent
pas à toute personne ou entité désignée d’effectuer des paiements au titre d’un
contrat passé avant l’inscription de cette personne ou entité sur la liste, dès lors que
les États concernés se sont assurés que le paiement n’est pas reçu directement ou
indirectement par une personne ou entité visée au paragraphe 17 ci-dessus, et que
ces États ont signifié au Comité leur intention d’effectuer ou de recevoir de tels
paiements ou d’autoriser, selon qu’il conviendrait, le déblocage à cette fin de fonds,
avoirs financiers et ressources économiques, dix jours ouvrables avant cette
autorisation;

Critères de désignation

22. Décide que les mesures prévues aux paragraphes 15 et 17 s’appliquent
aux individus et entités désignés par le Comité, conformément aux alinéas b) et c)
du paragraphe 24, respectivement :
a) Qui ordonnent, contrôlent ou dirigent de toute autre manière la
commission de violations graves des droits de l’homme contre des personnes se
trouvant en Jamahiriya arabe libyenne ou sont complices en la matière, y compris en
préparant, commandant, ordonnant ou conduisant des attaques, en violation du droit
international, notamment des bombardements aériens, contre des populations ou des
installations civiles, ou en étant complices en la matière;
b) Qui agissent pour des individus ou entités identifiés à l’alinéa a) ou en
leur nom ou sur leurs instructions;

23. Encourage vivement les États Membres à communiquer au Comité les
noms des individus qui répondent aux critères énoncés au paragraphe 22 ci-dessus;

Nouveau comité des sanctions

24. Décide de créer, conformément à l’article 28 de son règlement intérieur
provisoire, un comité du Conseil de sécurité composé de tous ses membres (ci-après
« le Comité »), qui s’acquittera des tâches ci-après :
a) Suivre l’application des mesures prévues aux paragraphes 9, 10, 15 et 17
ci-dessus;
b) Désigner les personnes passibles des mesures prévues au paragraphe 15
et examiner les demandes de dérogation prévues au paragraphe 16 ci-dessus;
c) Désigner les personnes passibles des mesures prévues au paragraphe 17
ci-dessus et examiner les demandes de dérogation prévues aux paragraphes 19 et 20
ci-dessus;
d) Arrêter les directives qui pourraient être nécessaires pour faciliter la mise
en oeuvre des mesures imposées ci-dessus;
e) Lui adresser dans un délai de trente jours un premier rapport sur ses
travaux et faire ensuite rapport au Comité lorsque celui l’estimera nécessaire;
f) Entretenir un dialogue avec les États Membres intéressés, en particulier
ceux de la région, notamment en invitant leurs représentants à le rencontrer afin
d’examiner la question de l’application des mesures;
g) Solliciter de tous les États toutes informations qu’il jugerait utiles
concernant les actions que ceux-ci ont engagées pour appliquer les mesures de façon
effective;
h) Examiner les informations faisant état de violations ou du non-respect
des mesures imposées par la présente résolution et y donner la suite qui convient;
25. Demande à tous les États Membres de faire rapport au Comité dans les
cent vingt jours suivant l’adoption de la présente résolution sur les mesures qu’ils
auront prises pour donner effet aux paragraphes 9, 10, 15 et 17 ci-dessus;

Assistance humanitaire

26. Demande à tous les États Membres, agissant de concert et en coopération
avec le Secrétaire général, de faciliter et d’appuyer le retour des agences
humanitaires et de rendre accessible en Jamahiriya arabe libyenne une aide
humanitaire et une aide connexe, prie les États concernés de le tenir régulièrement
informé des progrès accomplis quant aux mesures prises en application du présent
paragraphe et se déclare prêt à envisager de prendre d’autres mesures pertinentes, si
nécessaire, pour y parvenir;

Volonté d’examiner la situation

27. Affirme qu’il suivra en permanence la conduite des autorités libyennes et
se tiendra prêt à examiner l’opportunité des mesures énoncées dans la présente
résolution, y compris de leur renforcement, de leur modification, de leur suspension
ou de leur levée, selon ce que dicterait la manière dont les autorités libyennes se
conforment aux dispositions pertinentes de la présente résolution;

28. Décide de rester activement saisi de la question.


Par ailleurs la Représentation Permanente demande à la Police Fédérale d'Investigation et aux Institutions Bancaires de la République de Simland d'appliquer l'interdiction de voyager et le gel des avoirs des personnes ci-dessous:

Interdiction de voyager

1. AL-BAGHDADI, Abdulqader Mohammed
Numéro de passeport : B010574. Date de naissance : 1er juillet 1950.
Chef du Bureau de liaison des comités révolutionnaires. Les Comités
révolutionnaires sont impliqués dans la violence contre les manifestants.

2. DIBRI, Abdulqader Yusef
Date de naissance : 1946. Lieu de naissance : Houn (Libye).
Chef de la sécurité personnelle de Muammar QADHAFI. Responsable de la
sécurité du régime. A, par le passé, orchestré la violence contre les dissidents.

3. DORDA, Abu Zayd Umar
Directeur de l’Organisation de la sécurité extérieure. Fidèle du régime. Chef de
l’organisme de renseignement extérieur.

4. JABIR, général de division Abu Bakr Yunis
Date de naissance : 1952. Lieu de naissance : Jalo (Libye).
Ministre de la défense. Responsable de l’ensemble des actions des forces
armées.

5. MATUQ, Matuq Mohammed
Date de naissance : 1956. Lieu de naissance : Khoms.
Secrétaire chargé des services publics. Membre influent du régime. Impliqué
dans les Comités révolutionnaires. A, par le passé, été chargé de mettre fin à la
dissidence et à la violence.

6. QADHAF AL-DAM, Sayyid Mohammed
Date de naissance : 1948. Lieu de naissance : Syrte (Libye).
Cousin de Muammar QADHAFI. Dans les années 80, Sayyid a été impliqué
dans une campagne d’assassinats de dissidents et aurait été responsable de
plusieurs morts en Europe. On pense qu’il aurait été impliqué aussi dans
l’achat d’armements.

7. QADHAFI, Aisha Muammar
Date de naissance : 1978. Lieu de naissance : Tripoli (Libye).
Fille de Muammar QADHAFI. Association étroite avec le régime.

8. QADHAFI, Hannibal Muammar
Numéro de passeport : B/002210. Date de naissance : 20 septembre 1975. Lieu
de naissance : Tripoli (Libye).
Fils de Muammar QADHAFI. Association étroite avec le régime.

9. QADHAFI, Khamis Muammar
Date de naissance : 1978. Lieu de naissance : Tripoli (Libye).
Fils de Muammar QADHAFI. Association étroite avec le régime.
Commandement d’unités militaires impliquées dans la répression des
manifestations.

10. QADHAFI, Mohammed Muammar
Date de naissance : 1970. Lieu de naissance : Tripoli (Libye).
Fils de Muammar QADHAFI. Association étroite avec le régime.

11. QADHAFI, Muammar Mohammed Abu Minyar
Date de naissance : 1942. Lieu de naissance : Syrte (Libye).
Guide de la Révolution, Commandant suprême des forces armées. Responsable
d’avoir ordonné la répression des manifestations, violations des droits de
l’homme.

12. QADHAFI, Mutassim
Date de naissance : 1976. Lieu de naissance : Tripoli (Libye).
Conseiller pour la sécurité nationale. Fils de Muammar QADHAFI.
Association étroite avec le régime.

13. QADHAFI, Saadi
Numéro de passeport : 014797. Date de naissance : 25 mai 1973. Lieu de
naissance : Tripoli (Libye).
Commandant des Forces spéciales. Fils de Muammar QADHAFI. Association
étroite avec le régime. Commandement d’unités militaires impliquées dans la
répression des manifestations.

14. QADHAFI, Saif al-Arab
Date de naissance : 1982. Lieu de naissance : Tripoli (Libye).
Fils de Muammar QADHAFI. Association étroite avec le régime.

15. QADHAFI, Saif al-Islam
Numéro de passeport : B014995. Date de naissance : 25 juin 1972. Lieu de
naissance : Tripoli (Libye).
Directeur de la Fondation Qadhafi. Fils de Muammar QADHAFI. Association
étroite avec le régime. Déclarations publiques incendiaires incitant à la
violence envers les manifestants.

16. AL-SENUSSI, Colonel Abdullah
Date de naissance : 1949. Lieu de naissance : Soudan.
Directeur du renseignement militaire. Participation du renseignement militaire
à la répression des manifestations. Soupçonné d’avoir, dans le passé, participé
au massacre de la prison d’Abou Salim. Condamné par contumace pour le
bombardement du vol UTA. Beau-frère de Muammar QADHAFI.

Gel des avoirs

1. QADHAFI, Aisha Muammar
Date de naissance : 1978. Lieu de naissance : Tripoli (Libye).
Fille de Muammar QADHAFI. Association étroite avec le régime.

2. QADHAFI, Hannibal Muammar
Numéro de passeport : B/002210. Date de naissance : 20 septembre 1975. Lieu
de naissance : Tripoli (Libye).
Fils de Muammar QADHAFI. Association étroite avec le régime.

3. QADHAFI, Khamis Muammar
Date de naissance : 1978. Lieu de naissance : Tripoli (Libye).
Fils de Muammar QADHAFI. Association étroite avec le régime.
Commandement d’unités militaires impliquées dans la répression des
manifestations.

4. QADHAFI, Muammar Mohammed Abu Minyar
Date de naissance : 1942. Lieu de naissance : Syrte (Libye).
Guide de la Révolution, Commandant suprême des forces armées. Responsable
d’avoir ordonné la répression des manifestations, violations des droits de
l’homme.

5. QADHAFI, Mutassim
Date de naissance : 1976. Lieu de naissance : Tripoli (Libye).
Conseiller pour la sécurité nationale. Fils de Muammar QADHAFI.
Association étroite avec le régime.

6. QADHAFI, Saif al-Islam
Numéro de passeport : B014995. Date de naissance : 25 juin 1972. Lieu de
naissance : Tripoli (Libye).
Directeur de la Fondation Qadhafi. Fils de Muammar QADHAFI. Association
étroite avec le régime. Déclarations publiques incendiaires incitant à la
violence envers les manifestants.


04 Mars 2011, 10:20
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Bonsoir à tous, comme vous avez pu le constater la Représentation Simlandaise est de retour avec l'ancien topic qui datait de 2011.

Pourquoi le retour de ce topic? Tout simplement parce qu'après de nombreux essais depuis quelques semaines, il s'est avéré que c'était soit des copiés collés de ce topic, soit des topics avec moins d'information. Donc je préfère autant réactualiser ce topic pour qu'il puisse continuer à vous informer autant qu'il l'avait fait en 2011.

Alors ce topic a été entièrement actualisé (si il y'a des erreurs, je corrigerais rapidement), très prochainement un certain nombre d'articles feront leur apparition, je ne compte plus me limiter à ce qui se passe aux Nations Unies, mais faire de ce topic le lien avec le Ministère de la Paix en ce qui concerne la Politique Diplomatique de Simland

En parlant de la politique diplomatique de Simland, pour des raisons RP, on va admettre que Simland dispose d'un siège permanent au Conseil de Sécurité des Nations Unies. Ceci étant pour augmenter le rôle de Simland au sein de l'ONU d'un point de vue RP et surtout enrichir notre action (et le rôle de la Représentation Permanente aussi).

Je suis à votre disposition pour toute question, n'oubliez pas, la Représentation permanente est à votre service ;)

Sanosuke


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07 Déc 2012, 18:19
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Conférence de Presse par rapport à la situation actuelle au Proche et Moyen-Orient

Bonjour à tous, je souhaiterai profiter de l'instant présent pour clarifier notre position vis à vis de la situation actuelle au Proche et Moyen-Orient.

Concernant l'Egypte, la République de Simland a salué la tenue d'élections en Egypte le 17 juin dernier, cependant la situation actuelle nous semble très préoccupante vis à vis des manifestations et du décret (maintenant annulé) du Président Morsi. La République de Simland continue à suivre de près l'actualité egyptienne.

A propos de la Syrie, la situation est tout à fait préoccupante, et nous déplorons plusieurs choses, l'échec de la médiation par Kofi Annan, et le refus d'un consensus entre les différentes parties prenantes au Conseil de Sécurité. De chaque côté, les différents protagonistes ont usés de moyens innommables et honteux pour arriver à leur fin, en dépit de la condition du peuple syrien dans son intégralité. Nous ne nous posons pas en défenseur du Gouvernement ou des Rebelles syriens, mais en défenseurs du Peuple. La République de Simland votera favorablement à toute résolution du Conseil de Sécurité ayant pour but de solutionner la crise actuelle en Syrie qui ne peut plus continuer, un cessez-le-feu est nécessaire avant de prendre des décisions pour l'avenir du pays..

Et enfin concernant la Palestine, la République de Simland salue la reconnaissance de la Palestine en tant qu'Etat non membre des Nations Unies, c'est une étape vers la reconnaissance effective de l'Etat. Mais avant de pouvoir parler de reconnaissance de la Palestine, il faut solutionner les questions urgentes de l'actualité, à savoir les affrontements récents autour de la bande de Gaza, la colonisation et des nombreux points chauds qui contribuent à l'enlisement du conflit. De nombreuses personnes arguent que le conflit est non solvable, nous ne partageons pas ce pessimisme. Si la paix effective et durable doit pouvoir s'établir sur le long terme, il faut d'abord agir significativement sur le court terme, aucune partie prenante ne doit se poser en victime de l'autre. Nous soutiendrons toute action en faveur de la paix de la part d'Israël et de l'Autorité Palestinienne. Si la question de l'acceptation au sein des Nations Unies de la Palestine en tant qu'Etat membre des Nations Unies se pose, nous nous abstiendrons de voter.

Merci de votre attention

Sanosuke


11 Déc 2012, 14:11
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Résolution 2085 du Conseil de Sécurité à propos du Mali

Cette résolution a été adoptée le 20 décembre 2012, lors de la 6894e séance du Conseil de Sécurité.

La Représentation Permanente de Simland a voté :


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La Résolution a été adoptée à l'unanimité par le Conseil de Sécurité des Nations Unies. Elle consiste en l'autorisation d'un déploiement des forces internationales au Mali par étapes. Ci dessous le communiqué des Nations Unies

L'Ambassadeur


Citer:
20 décembre 2012 – Agissant en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies – qui autorise le recours à la force – le Conseil de sécurité a autorisé jeudi, « pour une période initiale d'un an », le déploiement de la Mission internationale de soutien au Mali sous conduite africaine (MISMA), qui sera notamment chargée d'aider les autorités maliennes à reprendre les zones du nord su pays contrôlées par des groupes armés terroristes et extrémistes.

Aux termes de cette résolution, présentée par la France et adoptée à l'unanimité de ses quinze membres, le Conseil confie également à la MISMA la tâche d'aider à reconstituer la capacité des Forces de défense et de sécurité maliennes, en étroite coordination avec les autres partenaires internationaux, y compris l'Union européenne.

La MISMA devra « aider les autorités maliennes à reprendre les zones du nord de son territoire qui sont contrôlées par des groupes armés terroristes et extrémistes et à réduire la menace posée par des organisations terroristes, y compris Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) et le MUJAO et les groupes extrémistes y affiliés, en prenant en même temps des mesures susceptibles de réduire les effets des opérations militaires sur la population civile. »

La situation dans le nord du Mali a continué de se détériorer au cours des deux derniers mois, avec la poursuite des violations flagrantes des droits de l'homme et de la destruction de sites culturels et historiques à Tombouctou. Plus de 412.000 personnes ont été contraintes de fuir la région et près de cinq millions au total ont été touchées par le conflit.

L'Union africaine, agissant en étroite coordination avec la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), le Secrétaire général et les autres organisations internationales et partenaires bilatéraux sont priés par le Conseil de sécurité de lui faire rapport « tous les 60 jours » sur le déploiement et les activités de la MISMA, « y compris avant le lancement de l'offensive dans le nord du pays ».

La résolution 2085 comporte également un volet politique appelant Bamako à ouvrir un « dialogue politique pour rétablir pleinement l'ordre constitutionnel », notamment en organisant des élections présidentielles et législatives avant avril 2013. Le Conseil demande à être informé des progrès accompli dans le déroulement de ce processus politique, y compris des négociations entre les autorités maliennes et l'ensemble des parties dans le nord du Mali ayant rompu tout lien avec les organisations terroristes.

Le Conseil tient en outre à être informé tous les deux mois de la formation « effective » des unités militaires et de police, qu'il s'agisse de celles de la MISMA ou de celles des forces maliennes, de l'état de préparation opérationnelle de la Mission et de l'efficacité de sa chaîne de commandement.

Le Conseil de sécurité prie le Secrétaire général « de confirmer à l'avance que l'offensive prévue est à sa satisfaction ».

Il est enfin demandé aux États Membres, y compris à ceux de la région du Sahel, « de fournir des contingents à la MISMA pour lui donner les moyens de s'acquitter de son mandat et […] un appui coordonné, notamment sous la forme de formations militaires, de fourniture de matériel, de renseignement, d'appui logistique ».

Lors d'une réunion au Conseil de sécurité le 5 décembre dernier, le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, Jeffrey Feltman, avait indiqué qu'« une intervention militaire mûrement réfléchie et bien exécutée dans le nord ne devrait être lancée qu'en derniers recours contre des éléments terroristes et criminels et les activités de stabilisation dans les zones reconquises faire l'objet d'une planification. » Une telle intervention doit constituer un aiguillon pour le processus politique, qui doit rester la priorité au Mali, avait-il insisté.



21 Déc 2012, 16:45
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