LA VOIX DU LEWSLAND | Mais qui est Metri Goroniski, notre leader.Par Regina Phalange
Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, les bénis de mon Père, héritez du royaume qui vous est préparé dès la fondation du monde ; car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; j’étais nu, et vous m’avez vêtu ; j’étais infirme, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus auprès de moi. Alors les justes lui répondront, disant : Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim, et que nous t’avons nourri ; ou avoir soif, et que nous t’avons donné à boire ? Et quand est-ce que nous t’avons vu étranger, et que nous t’avons recueilli ; ou nu, et que nous t’avons vêtu ? Et quand est-ce que nous t’avons vu infirme, ou en prison, et que nous sommes venus auprès de toi ? Et le roi, répondant, leur dira : En vérité, je vous dis : En tant que vous l’avez fait à l’un des plus petits de ceux-ci qui sont mes frères, vous me l’avez fait à moi.
Matthieu 25:34-40
Cette petite phrase inscrite dans un tableau sur son bureau pose le personnage, le décor lui aussi , bureau austère , croix chrétienne sur le mur , une photo de ses filles et de sa femme en vacance dans la toundra lewslandaise trône sur une étagère .
Le film
"Le Dernier Trappeur" tourne en boucle dans son bureau il me confie qu’il est pour lui le seul moyen dans cette société de se rappeler qu’elle sont les impératif des humains , se nourrir et se loger , il dit qu’a ses yeux seul ceux qui nourrisse l’homme , seul ceux qui le loge trouve grâce à ses yeux , les ouvriers sont pour lui son cadenas accroché au réel qui contraste avec la paresse parasitaire de la finance .
L’Homme fort du Lewsland n’est pas un amoureux du luxe , ce petit bureau est bien modeste quand on connait les coudes qui le frotte . Née dans un famille pauvre lewslandaise , il est devenu très riche de sagesse en observant , en écoutant , en découvrant ces activités ,elles était sa spéculation boursière a lui , son seul moyen de contré l’ennui et de s’enrichir , l’homme est froid , triste presque , mais il est solide et rassurant , malgré mon insistance il semble peu enclin à discuter avec moi , son regard se pose sur les cartes du Lewsland , sur ses dossiers en cours avec beaucoup d’impatience quand un moment de silence se fait sentir ,le leader ne fait rien pour se faire aimer par les simlandais , mais visiblement ce n’est pas sa priorité , il dit préféré les sourires timides des lewslandais , au invitations cordiales des sudistes .
Même quand il est invité à l’étranger , l’homme est discret , presque timide , il étudie comment ne pas froisser son hôte si il doit décliner , malgré que je constate qu’il se moque de l’image qu’il renvoie , il dit n’avoir aucun mal à passer pour un idiot si c’est pour l’intérêt du Lewsland et de son peuple , son orgueil n’en souffre pas , il préfère jauger ses adversaires par le silence , les laisses le piétiné par leur orgueil (l’orgueil ne reste que courant d’air pour lui , de simples mots…) , cette sérénité de l’esprit il l’a appris avec le sport , l’homme aime la boxe, il maitrise le combat , il sait qu’un adversaire trop fier cache ses propres failles , de son parcours sportif il se souvient des enseignement de son maitre , il lui raconter l’histoire des spartiates , il observer entre 14 et 17 ans un entrainement si stricte qu’il devait garder le silence et rester discret pour devenir des vrai lacédémoniens , pendant ses 3 ans il apprenait le contrôle , la maitrise de leur émotions , c’est cette logique même qui leur apprend qu’on ne doit jamais combattre trop longtemps le même ennemie de peur qu’il n’apprenne nos ruses , que la précipitions n’est que la voie des mauvais choix , Metri Goroniski sait qu’il est isolé sur la scène politique simlandaise , il n’obtient le respect que des peuples nordique qui comprenne sa pudeur des sentiment mais son côté réactionnaire faire peur aux sudiste plus proche de l’occident et en définitif assez ethnocentré .
Je quitte notre entretien encore plein de mystère , que pense-t-il de sa fonction , comment la voit-il , ect … mais ce sont finalement , je m’en rend compte , des questions bien déplacé , l’homme a besoin de réponse a ses interrogations même quand le logos lui inflige de pertinente réponse , peu importe qui est-il , ce qu’il pense , si il aime telle ou telle personne , sa façon de vivre ou de réagir , du moment que de par sa fonction il contente les impératif empirique de croissance et de bien être qu’on exige tous d’un dirigeant .
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