Situation (Ville/État) :

Nom du Ghettos/Quartier Sensible :

Image(s) (au moins 3) du ghetto et de son aménagement :

Explication des avancées concrètes dans le Ghetto (éducation, social, santé,...) :

Petit RP (facultatif) :

Autres renseignements (facultatif) :

Situation (Ville/État) : Fangard Queens [10]

Nom du Ghettos/Quartier Sensible : Little Warmoesstraat

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[align=center]Little Warmoesstraat[/align]

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Qui pourrait croire que ce quartier paisible de Fangard été en réalité un ancien ghetto, à priori personne. Et pourtant ce quartier ancienne citée ouvrière a été le théâtre du plus grand massacre qu’est connu Simland.

Mais revenons en arrière pour comprendre l’histoire de ce ghetto.

Dés 1939, des centaines de milliers de juifs hollandais viennent s’installer à Fangard, fuyants la répression et la déportation menée par le régime nazi après l’invasion des pays bas. Arrivant à Fangard, en famille et le plus souvent seuls et sans le sou, ils commencèrent à s’installer dans les ruines de l’ancienne cité ouvrière de Protchov. Quelques mois après ils construirent et rénovèrent ce qui devait leur servir d’habitation.

En juin 1940 dans un climat de peur, de suspicion et de guerre, le fascisme, qui n’avait pas passé les portes de Simland , avait diffusé de nombreuses théories racistes et plus particulièrement antisémites dans le monde entier. Simland ne fut pas épargné, de plus en plus de personnes étaient persuadées que le simple fait d’être juif été néfaste pour la société.

C’est alors que dans la nuit du lundi 31 juin 1940, un groupuscule néo nazi de la ville, soutenu par de nombreux politiques de l’époque, massacra 136 juifs hollandais du quartier de Little Warmoesstraat, quartier ou les juifs étés installés depuis 1 an à peine.

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[align=center]Lieu ou les juifs furent massacrés[/align]

La police par manque de moyens, n’a pu ou n’a voulu empêcher le désastre, c’est bien des années après en 1962 que les membres du groupuscule furent condamné aux travaux forcés à perpétuité.

Apres ce massacre les tensions été toujours présentes, les juifs hollandais commencèrent à ce regrouper en petit groupe et à ne plus quitter le quartier.

Le quartier de Warmoesstraat fut entouré de fils de barbelés et de mur de béton, d’où l’apparition du ghetto, en août 1940. C’est le maire de la ville, lui-même, qui avait ordonné la mise en quarantaine du quartier, prétextant des actes de violences insoutenables menés par des juifs contre les « honnêtes citoyens ».

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[align=center]Entrée du ghetto[/align]

La mise en quarantaine fut levée un an plus tard en 1941, après que le monde entier eu connaissance des actes de barbaries perpétrés par les nazis.

Mais ce n’est pas pour autant que ce quartier cessa d’être un ghetto, coupé du monde et marqué au fer rouge par le massacre du 31 juin 1940, le quartier plongea dans la misère et dans la violence.

Ce n’est qu’en 1990 que le maire de l’époque, Boris Dupont, lança une grande campagne de réhabilitation du quartier.

Les bâtiments trop vétustes furent rasés et reconstruits, un grand parc fut construit au milieu du quartier et des arrêts de bus installés.

Puis en 1992, un commissariat une caserne et une clinique ont pris place dans le quartier. Mais il faudra attendre 1999 pour qu’un collège soit construit.

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[align=center]Le collége[/align]

Aujourd’hui le quartier est paisible et presque tout le monde a oublié ce qu’il été avant, un théâtre fut même installé. La campagne de promotion sociale, d’aide au logement, et de tolérance lancée en 2001 ç porté ses fruits, aujourd’hui ce quartier est devenu l’un des quartier ou il fait bon vivre à Fangard.

[align=center]Photographies du quartier de nos jours[/align]

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Crédit photos: http://claude.torres1.perso.sfr.fr/Pays-Bas/Amsterdam/MusiqueGhettoAmsterdam.html

[align=center]Merelkaai[/align]
La Cité de Merelstadt a été fondée en 1778 par des anciens insurgés de Tamnisa sur Avalon, forcés à l'exil après le "Lightning" de l'année précédente. Deux ans après la fondation, Merelkaai fusionne avec Goudenhavenstadt, le port fluvial pour donner la Cité de Merelkaai, encore indépendante de Tamnisa.
Plus Tamnisa grandissait, plus le port devenait influent. En 1800, la population de Merelkaai était deux fois plus importante que celle de la Stadtskern (le centre de Tamnisa), mais la vie y était déplorable, le récent système d'égouts ne couvrait que les quartiers des Lords anglais et les prolétaires se faisaient battre et arrêter par la police. Les usines polluaient alors horriblement l'air. Le ciel était intégralement noir pendant le 20 juin 1837, jour de l'avènement de la Reine Victoria, en effet, le jour décrété férié, les ouvriers dévalisèrent le charbon des usines et des trains et le brûlèrent dans les rues.

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Malgrès la création de Tamnisa sur Avalon en tant qu'entitée municipale et la création de l'Underground Metropolitan Railways of Tamnisa, Merelkaai resta intégralement prolétaire au travers des ères. La situation stagnait avec des mouvements éphémères fréquentes et une pollution omniprésente jusqu'en 1933, quand la Grande Dépression, où le chômage atteint un quasi-record mondial : 86% ! Les habituelles manifestations devinrent des émeutes violentes. L'armée intervint avec carte blanche donnée du maire et au final des milliers de morts... Le Roi du Royaume-Uni ordonna en personne la déposition du maire et les premières élections eurent lieu.

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Les élections de 1934 furent acceuillies d'un mauvais oeil par les classes travailleuses, unanimements à gauche ; en effet, le nouveau maire fut conservateur et partisan de la "Répression anti-prolétaire". Deux mois plus tard, il est assassiné et son corps disparu à jamais. Des nouvelles élections en 1936 donneront un maire travailliste, fesant passer de son mandat de trois ans le taux de chômage de 75% à 16%, surtout grace au rachat des usines pour la construction en masse d'armes pour les Etats-Unis et le Royaume-Uni, mais aussi pour les autres pays alliés, tels que la France Indochinoise, l'Indonésie néerlandaise, l'Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada ; ainsi que pour la construction des nouveaux quartiers et des tours résidentielles etc. Malheuresement, les manifestations constentes reprirent après les mandats conservateurs alignés jusqu'en 1979 avec une pause travailliste entre 1945 et 1948. En 1967, la vague hippie fait fureur avec les nombreux concerts cachés, dont le méconnu de Jimi Hendrix dans une ancienne usine de locomotives en 1968.

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En 1980, après "l'abandon" du Simland anglais par le Royaume-Uni, un maire travailliste fut élu : John Esse. Un maire mythique qui transformère les Docks en grande zone de bureaux pour à la fois désengorger l'activité économique du Stadskern. Entre 1980 et 1989, les docks furent un immense chantier. Des écoles de renommées furent créées, des cliniques, des bibliothèques, des théâtres mais aussi des clubs cachés et des pubs afin de garder le patrimoine culturel imposant du quartier. Les immeubles furent transformés en divers tour de bureaux et les habitants furent tranférés dans les bâtiments sur les bords des canaux. Le salaire moyen explosa à 6000 USD par mois, c'est à dire six fois plus qu'auparavant. L'Avalon redevint bleu, le ciel fut évacué de ses nuages gris sombre mais surtout l'air devint respirable et la quasi-totalité des bâtiments furent construits sous les normes HQE. Le Monorail des Docks fut inauguré en 1995 pour permettre l'accès aux zones non-desservies par le métro de l'être.

[align=center][img]http://cache.virtualtourist.com/3058685-Docklands_London_England-London.jpg[/img





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