La corruption au sein du gouvernement actuel est si vaste qu'on pourrait faire un doctorat seulement su ce sujet. En gros, une chose importante à savoir c'est que dans la culture populaire, le parti libéral a toujours eu des amis près de la mafia italienne. Même si c'était quelque chose de clair pour les citoyens fortement anti-PLQ, cela n'était habituellement qu'une sorte de préjugé ou de cliché qu'on entretenait. Hors, depuis 2009 environ, les scandales pleuvent sur le gouvernement provincial tout comme sur plusieurs maires de la région de Montréal qui sont souvent issus des rangs du parti libéral.


D'abord, pour les visuels, il y a la corruption en image. La partie en haut à droite de l'image comporte même certains liens avec la France qui pourraient vous intéresser.


http://anistunisienmarley.files.wordpre ... uleuse.jpg


Au sujet des réserves pétrolières gardées secrètes et maintenant sous la pattes de compagnies où siègent de nombeux libéraux :

http://www.ledevoir.com/environnement/a ... -anticosti




Le bras droit du maire de Montréal arrêté :

http://www.lapresse.ca/actualites/regio ... emblay.php

Le ministre de la famille accusé de favoritisme dans la construction et l'obtention de permis de garderie :

http://www.lapresse.ca/actualites/quebe ... bousse.php



Nomination partisane des juges du Québec :

http://www.ledevoir.com/politique/quebe ... e-la-donne




Sinon, pour les visuels

Tu sais en meme temps la corruption et les magouille , pas beaucoup de pays en sont exempté . De ce constat , je comprend bien qu'il est toujour plus difficile de supporter la corruption des autres que la sienne . J'admire t'on engouement politique (puisque trés peu de jeune , y comprenne quelque chose a la politique d'ailleur ) , ceci etant dit , de mon point de vue bcp de quebecois font l'erreur de confondre l'immoralité d'un système (capitalisme canadien) avec oppression colonialiste ;

Si on enleve la part de corruption propre a ce gouvernement , si on enleve la part de "mal gérance" economique de la part du gouvernement canadien . Les elites quebecoise amener a peu etre vous commander si independance il y aurai , serai t'elle mieux ?

De ma vision francaise , un peu (hors système) , je vois pas mal de jeune quebecois , ce faire manipuler par des elites qui ont juste comme legitimer au peuple celle d'etre francophone mais qui ont les meme interet .

Qu'est qu'un bourgeois quebecois a comme point commun avec l'ouvrier quebecois . La rage revolutionnaire quebecoise est mise dans le mauvais combat , au lieu d'etre pour la lutte des classe , il sucombe a lutte patriotique bcp plus facile a adopter que la lutte des classe , car l'exploitation ouvrière par les bourgeois est un mecanisme bcp plus difficile a persevoir que le choc des civilisation (le terme est exagerer) .

Ca me fait mal au coeur pour les quebecois , qui se font manipuler par des elites quebecoise pour le profit , la seule guerre culturelle qui existe c'est entre les riches canadiens et les riches quebecois , qui se battent pour le controle de leur esclaves .

Voici une intéressante analyse politique sur les différents "Québecs" qui existent et qui sont présents dans la lutte :

http://www.ledevoir.com/societe/actuali ... publicains

Monarcho-libéraux contre républicains
Le conflit étudiant a muté en crise sociale. Au fond, qui est dans la rue plus que jamais dans l’histoire du Québec et pourquoi ?

C’est l’élu ou la rue. L’élu des élus Jean Charest a renouvelé son appel au calme jeudi. On saura aujourd’hui s’il a été entendu par la rue mobilisée pour une nouvelle manifestation par les étudiants en grève depuis plus de cent jours et quelques dizaines de nuits.

En constatant l’échec des négociations, le premier ministre a répété que des élections auraient lieu d’ici 18 mois et que « ce sera le moment pour les gens d’exprimer leur désaccord démocratiquement ». Il a ajouté que les plus radicaux des jeunes négociateurs étaient allés trop loin en menaçant de perturber le Grand Prix de F1 prévu à Montréal le week-end prochain.

« Ce que nous avons dit, c’est que le Grand Prix allait être, tout comme le sont d’autres événements [des festivals notamment], une tribune pour s’exprimer et faire valoir les revendications étudiantes », a ensuite expliqué Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole de la CLASSE, regroupement d’associations réputé le plus militant.

C’est donc l’élu ou la rue. Ces deux options s’arriment à des conceptions radicalement différentes du politique, du pouvoir, de la légitimité. Au fond qui gouverne ? L’Assemblée nationale ou le peuple souverain ? Et que faire des casseurs radicaux qui foutent le feu de temps en temps ?

Le monarque et le peuple

Au lieu de la traditionnelle opposition entre la gauche et la droite, le politologue Marc Chevrier de l’UQAM propose une tripartition des options. Il distingue une conception dite monarcho-libérale (au pouvoir à Québec comme à Ottawa) et deux postures contestataires : une républicaine, une anarcho-libertaire.

La première philosophie, défendue par le gouvernement, avec un fort écho chez les commentateurs des grands médias, s’alimente au libéralisme classique. Dans ce système, les électeurs délèguent le pouvoir à une élite élue qui acquiert ainsi le droit de gouverner le peuple.

« Le gouvernement décide en souverain, d’où cette appellation du monarcho-libéralisme, explique le professeur de sciences politiques. Bien sûr, on peut contester les décisions et manifester, mais la véritable initiative vient du gouvernement. Et quand on n’est pas content, on change de gouvernement aux prochaines élections. »

Ce modèle circonscrit le rôle du citoyen-électeur. « Le peuple en lui-même n’est pas une entité, poursuit le professeur Chevrier. Ce sont les individus titulaires de droits qui comptent. La société, elle, demeure très policée et elle est définie par les droits contractuels de tout un chacun. Dans ce portrait, les lieux publics sont faits pour la circulation des voitures, des biens, des personnes, et toute atteinte à cette circulation devient une atteinte aux droits contractuels. »

La tradition se réclamant du républicanisme remonte jusqu’aux patriotes. Le professeur fait d’ailleurs observer la présence de drapeaux de la Rébellion dans les foules. « Cette conception dit que le peuple garde ses droits de vigilance, de manifestation, de critique. Il peut s’assembler et faire contrepoids à l’action des élus ou la seconder. Je ne sais pas si les gens pensent à ça en tapant sur leur casserole, mais le lien me semble indéniable. »

La troisième option, beaucoup plus radicale, nie la représentativité des élus. Le peuple et le pouvoir se confondent alors dans la critique des formes de représentations traditionnelles. « Les deux positions contestataires se retrouvent dans les manifestations, dit M. Chevrier. On retrouve aussi la division dans les associations étudiantes. »

L’ascenseur social en panne

Le sociologue Stéphane Kelly, du cégep de Saint-Jérôme, propose sa propre tripartition fondamentale. Les deux premières conceptions se correspondent : lui-même parle plutôt d’une tradition « libérale-impériale » (au lieu de monarchique-libérale) et conserve l’idée d’une voie républicaine. Il ajoute une option conservatrice plutôt qu’anarcho-libertaire.

« Il y a, au Québec, trois cultures politiques, dit-il. Il y a la tradition libérale du Montréal impérial, anglophone, connecté sur l’empire américain, qui adhère au libéralisme et regarde le Québec francophone ébahi. Il y a le Québec conservateur, profond, hors Montréal. Il y a un troisième Québec républicain, le Grand Montréal francophone, qui considère que le peuple peut manifester. D’ailleurs, quand on regarde quels cégeps sont encore dans le mouvement, étrangement, on retrouve les circonscriptions derrière Papineau en 1837. Pour moi, ces trois cultures politiques se recristallisent en ce moment. »

Seulement, cette espèce d’invariant tripolaire s’arrime à des conditions particulières. L’auteur de l’essai À l’ombre du mur, sur les « trajectoires » de la génération X, imagine une famille typique d’aujourd’hui pour faire comprendre ce qui se passe. Dans ce portrait de groupe, un grand-père né en 1944 a un fils en 1964 qui engendre à son tour en 1994. Or, le premier a pris sa retraite confortable à 56 ans, le second aura de la chance s’il peut arrêter de travailler vers 66 ans et le petit-fils cessera probablement d’occuper des emplois précaires quand il sera trop épuisé…

« L’ascenseur social est en panne depuis trente ans, note M. Kelly. Durant les trente glorieuses, après la Deuxième Guerre mondiale, les individus avaient bon espoir de monter d’un, deux ou trois niveaux. À partir des années 1980, le retour du balancier défavorise les nouvelles générations. Le niveau de vie stagne ou régresse. C’est l’impasse et l’adieu au progrès. »

Pour lui, une série de déclassements sociaux expliquent donc les choix des étudiants en grève et des tapeurs de chaudrons. « La rationalité du gréviste voit la solidarité comme réflexe de survie dans un monde marqué par une insécurité croissante », résume M. Kelly.

La première dégringolade, la plus évidente, concerne l’économie. « L’horizon de déclassement se vérifie dans la protection sociale, la sécurité d’emploi, l’accès à la propriété, l’accès aux vacances ou l’épargne, y compris en vue de la retraite. »

Le deuxième étiolement est disciplinaire. Les étudiants des « humanités » (sciences humaines ou sociales, philo, arts, littérature, etc.), portent le carré rouge tandis que les disciplines plus collées au marché du travail, plus utilitaires (les sciences pures, les techniques…), n’ont pas fait grève, ou si peu.

« La vigueur du mouvement de contestation s’explique aussi par la menace sur ces disciplines. D’ailleurs, les leaders étudiants sont tous ici de cette filière, avec d’excellents dossiers scolaires en plus. Disons que beaucoup d’étudiants sont formés au jugement critique alors que les entreprises réclament autre chose. »

Le troisième déclassement concerne la famille. Le sociologue observe alors que les jeunes en grève proviennent de parents de la génération X et pour une bonne part d’entre eux de familles « décomposées », ce qui ajouterait une couche d’insécurité affective. « Je ne juge pas : moi-même je suis dans une famille recomposée », précise le savant.

Il ajoute être resté neutre dans le conflit auprès de ses étudiants. « Mais je crois que c’est un événement qui va être marquant dans l’histoire du Québec, conclut Stéphane Kelly. En terme de mobilisation, on n’a jamais vu ça, même en 1942 au moment des batailles autour de la conscription. Là, on a vu des milliers de personnes dans la rue, soir après soir après soir, pour s’opposer franchement au pouvoir. C’est du jamais vu et il faut être assez prudent pour expliquer un phénomène comme celui-là… »

C'est fou comment ça dégénère chez vous. On a l'impression de notre cotés que ce sont des manifs bénignes mais c'est bien plus grave.
J'aurais aimé etre au Québec pour me mobiliser avec les manifestants.

Je pense surtout que ce qui se passe actuellement ici est un raz le bol de la politique gouvernementale actuelle. Le Gouvernement est corrompu comme pas possible, le Québec est endetté jusqu'au cou, avec ce 1er ministre, il s'est appauvrit (faut bien l'alimenter la corruption hein) et en plus à chaque fois qu'il y a une "grève", le gouvernement, qu'il soit provincial ou fédéral, pond une "loi spéciale" pour forcer le retour au travail au nom de l'économie, c'est anti-démocratique. Pour moi le Québec et plus largement le Canada est une fausse démocratie.

Je comprend un peu ce qui se passe au quebec et plus largement au canada , voila une espèce de raz le bol des réseau elitiste qui font des arangement entre eux et pour eux .

En gros c'est un premice mondiale aussi , car la "democratie" a laissé et avait laissé des elites bourgeoise de l'ancienne noblesse d'empire , hors la noblesse a l'epoque avait des avantages mais cela en contrepartie de devoir , le devoir des armes en tant de guerre , et les devoirs régaliens en temps de paix , il aider et proteger leur peuple .

Hors c'est un phenomène mondiale qui ce passe , a different taux d'intensité , le peuple commence a ce rendre compte que ce sont des "parasite" car il beneficie de tout les avantage sans inconvenient , car les peuple ne vivent pas mieux de jour en jours et finalement ces memes elites (comme en france ) affiche ostensiblement le pouvoir inutile et leur richesse gagner sur les "productif" (ouvrier et secteur primaire et secondaire)

Je suis assez content de ce genre de mouvement et si il n'est pas a but nationaliste mais purement sociale c'est qu'il vient du peuple et que les elites n'ont pas d'interet la dedans . A l'inverse (et ceci pour un terre "independantiste" ) si il y a aide et rattrapage de ce mouvement par des nationaliste , c'est que le mouvement est elitiste et poussé par des interet exterieur .

De tout facon aucun mouvement sociale ne réussi sans soutien exterieur d'ailleur (ca donne 1905 en russie par exemple ) , on le voit pour d'autre pays , la syrie par exemple , il n'y aurait pas ces mouvement aussi important , si il n'y avait personne de l'exterieur du pays pour les soutenir financièrement .


J'espère que les manifestant quebecois , auront la force de resister (force financière) a tout interet elitiste ou de récuperation exterieur .



Ne t'engage jamais dans un mouvement avant d'en comprendre et d'en apprendre toute les finalité !!
Est sot celui qui parle sans savoir , et fou celui qui nie sans savoir !

J'espère que ces manifestations viendront à bout (élections anticipées, référendum), même si la population n'est pas unanimement pour. J'espère que le pouvoir ne fera pas passer ces mouvements pour des manifestations indépendantistes dans le but d'effriter le soutien, c'est le pire qui puisse vous arriver je pense. Bonne chance pour la suite.

Si il devait y avoir Référendum aujourd'hui et que le OUI l'emporte, je pense que le Québec se casserait la gueule. Comme je l'ai dis, le Québec est surendetté, il s'est même appauvrit depuis que les libéraux sont au pouvoir. J'ai vu un documentaire sur les minières au Canada ainsi qu'au Québec, c'est effarant! Ces dernières ne payent quasiment pas de redevances sur le minerai qu'elles extraient. Et en plus le gouvernement québécois donne des parcelles gigantesque de terrain pour les minières, il y a même des villes/villages entier sur des concessions minière et les maires ne peuvent rien faire. J'ai même vu dans ce même documentaire que la plupart des réserves et parcs naturel sont en faite des lopins de terre trop pauvre en minerai pour être exploité.

Se n'est qu'un des nombreux exemple de la mal gérance de ce gouvernement.

Pour en rajouter, la loi 078, dite la loi matraque est jugée par l'ONU comme "illégale" (ce n'est pas le terme utilisé) c'est pour dire.

Par 2 "experts" de l'ONU, tout de même. La loi 78 n'est pas la pire loi du monde, et même si elle est abusive, on peut dire qu'elle est... légitime. Jean Charest est pointé comme corrompu parce qu'il est au pouvoir depuis 9 ans. C'est la même chose pour tous les gouvernements qui durent aussi longtemps : le fait est que les opposants au gouvernement ont plus de temps pour trouver pleins de brèches et de faux pas. Bernard Landry n'était pas mieux. Tous les gouvernements, peu importe leur origine, sont corrompus. Ils entrent en fonction en promettant à la population (et du coup, en tentant de se convaincre eux-même) qu'ils vont assainir la politique et ramener à la chambre basse l'intégrité et l'honneur. Dans les faits, dès que tu entres en poste, le système de corruption est déjà tellement bien ancré que même avec toutes les volontés du monde, tout ce que tu fais, c'est t'asseoir, fermer ta boite à parole et continuer à nourrir El'mafiosi. Jean Charest et les libéraux, c'est les mafieux et les gros bras anti-syndicalistes. Le PQ et QS, ce sera la FTQ et les autres syndicats. C'est comme ça que ça se passe, et même les yeux fermés, on le sent à cent milles.

Aux prochaines élections, les libéraux reviendront, mais minoritaires. Ils seront bloqués de partout par les oppositions et moins de 12 mois après, il y aura une autre élection où Pauline sera élue minoritaire, avec une remontée spectaculaire de QS, parce qu'aujourd'hui, le Québec décide d'être "gue-gauche" parce que c'est la mode, la tendance. Jusqu'à ce que Pauline ait fait deux ans, et que les libéraux reviennent au pouvoir avec une équipe probablement drastiquement changée niveau candidats. On se rappellera de cette époque comme l'Ère syndicaliste du Québec et la chute d'un système qui ne tient aujourd'hui que par la corruption et la mafia. Contrôler les dates électorales et changer le mode de scrutin, c'est un peu comme rajouter du beurre d'arachides sur une toast déjà habillée par de la confiture aux fraises : inutile et épais.

Un référendum qui obtiendrait un OUI, avec la loi fédérale sur les référendums, et l'instabilité d'un peuple québécois qui ne sait pas ce qu'il veut, dirigé par des syndicats influents, ça n'arrivera jamais. Jamais. Heureusement, parce que si le Québec devait devenir un pays à part entière, je vois déjà la chute de l'Empire Québécor du Québec. C'est triste ce qui se passe au Québec, parce que malgré tout ce qui se présente aux électeurs, au final, c'est soit du réchauffé, du modelé ou du vieux stock fini. Alors, pour qui voter finalement ? Le vieux, le modelé ou le réchauffé ?

Brian, le Québec a toujours été "gue-gauche" comme tu dis. Le Canada a toujours été plus à droite que nous. Par nature, les francophones sont plus gauchistes que les anglophones, au Québec du moins.

Ya rien de compliqué en politiques au Québec. Prochaines élections, ou bien le PLQ passe, minoritaire, comme tu l'as dit, ce qui est très très probable. Ou bien le PQ passe minoritaire. Majoritaire pour les optimistes PQuistes, mais bon, faut pas charrier non plus. Un cas comme dans l'autre, le PQ et le PLQ c'est la même chose. Une coalition contre Charest serait une horreur politique. QS, ON et le PQ ensemble? Wow, bonjour la dictature PQuiste. Oublions la CAQ dans la coalition, ils sont un cas à part... Ni contre ni pour Charest, ni rien ni tout... Leur politique "On verra" est omniprésente.

Tu n'as qu'à voter pour le neuf

Voter pour Aussant ? Ah bah, t'es drôle, finalement. Un légume sur deux patte qui mange ses crottes de nez à l'Assnat., non merci. D'ailleurs, je crois davantage à une coalition CAQ-PLQ (Legault dit non, évidemment, mais comme il change souvent de chemise et que le "on verra" reviendra forcément, il finira par accepter.). Charest ne peut se permettre de perdre le pouvoir (en même temps, mieux vaut qu'il ne soit plus en poste avant que son nom sorte à la Commission d'enquête, parce que bye=bye l'immunité. Legault se doit de prendre le pouvoir pour en mettre plein dans la gueule à Marois qui n'a pas encore réussi l'exploit (par trois fois, ses tentatives d'être chef ? Pitoyable). Québec solidaire, on oublie ça immédiatement et on n'y pense même pas. Quant à moi, un parti dirigé par un ***** (censure, j'évite d'être arabophobe) et une présumée lesbienne jamais élue et autoproclamée porte-parole d'on-ne-sait-quoi (ça me fait penser au petit Gabriel, tiens), ça ne fait pas long feu. Et Option nationale... héhé... le parti créé juste pour donner un nom au nobody qu'on a vu dans les médias deux jours (lors de la création de son pseudo parti), désolé, mais si ça entre à l'Assnat, être Québécois deviendra une risée.

Il reste finalement le Parti vert, ce qui serait de loin le moins pire scénario : 2-3 ans à endurer un gouvernement qui passe des lois pour obliger le peuple à manger de la luzerne et à rouler à cheval, c'est pas si pire.

C'est vraiment pathétique d'insulter les chefs de partis sans aucune base pour montrer son point de vu cynique. Si au lieu de te faire lobotomiser par les médias biaisés, tu te mettais à écouter autre chose que Martineau ou du LCN, tu verrais que tu as tout à fait tord, mais ça a l'air inutile d'argumenter avec toi. Tu as droit à ton opinion, je ne peux pas te forcer d'avoir raison. En ce qui me concerne, j'ai le droit de ne pas t'écouter tout comme toi tu as le droit de ne pas m'écouter, à ta guise. Adieu.

Hum, je ne suis pas fanatique de Québécor. Adieu.

Élections anticipées pour vous !

Les indépendantistes québecquois seraient en tête des sondages à deux jours des elections.
Si ils gagnent, un nouveau referendum pourrait être proposé pour que le québec soit indépendant.