Nous avons réalisé une interview exclusive d’Halotime, le Vice-président de Simland. Sans plus attendre, la voici.

Hanov’News : Bonjour monsieur le vice-président, comment résumeriez-vous ce premier mois de mandat vice-présidentiel ?

Halotime : Bonjour, je vous remercie de m'avoir invité a m'exprimer dans votre journal. En tant méridionaux, j'ai toujours accordé de l'importance ce qui se passait outre Omega, en Genesie. Je suis donc ravis de me retrouver ici parmi les Génésiens. Alors concernant notre premier mois. Je suis très très satisfait de l'activité produite depuis notre arrivée au pouvoir. Il faut dire que les simlandais nous ont élu pour trancher avec les gouvernements précédents : si tôt élu, si tôt endormis. Nos débuts sont prometteurs et ce a tous les niveaux, dans tous les ministères : Monsieur Carter achève de remettre sur pied l'immobilier et il s'emploie a préparer la suite (vitrine, prêt, primes etc.). Monsieur Metri n'est pas en reste avec son récent succès diplomatique en organisant une grande alliance est ouest, amplifiant ainsi l'assise diplomatique de notre pays. Je l'accompagnerais le mois prochain a Moscou et a Pékin pour entériner cela. Il a également été brillant en reprenant les dossiers de l'armée simlandaise sur la base existante (c'est a dire le néant) pour produire rapidement de nombreux éléments pour notre armée (grades, médailles, service militaire, agence). Le ministère de la paix n'aura jamais été aussi actif qu'avec Monsieur Metri. C'est un élément important de notre pays qui sera remis neuf et permettra aux simlandais de jouer sans contraintes de façon ludique. En parlant de jouer, le ministre de l'amour et ses deux commissaires d'état (Gates, Georgeshub et Sébastien) se sont attelés a fonder L'académie, reconstruire les transports, faire les médailles des villes, les intégrer dans le profils, remettre sur pied le plan Marshall. En résumé voici l'étendue de notre action en 4 petites semaines. Et cela ne fait que commencer vu les nombreux projets qu'il nous reste a faire.

H.N. : Bien, vous avancez vite, n'avez-vous pas peur de finir votre programme trop tôt ?

H. : Je peux comprendre que cela soit surprenant pour les simlandais d'avoir un gouvernement qui avance vite et ce malgré notre volumineux programme qui nous a valu de nombreux procès en sorcellerie et des moqueries quant a notre utopisme. D'ailleurs mon adversaire du second tour de Novembre avait été élu parce qu'il avait un programme minimaliste et donc les gens savaient qu'ils ne seraient pas déçus. Et pourtant ... La preuve si il en est que rêver de nombreux projets n'est pas irréaliste. Impossible n'est pas simlandais. Pour en revenir a votre question, si d'aventure nous avions accomplis nos objectifs avant la fin du mandat, et bien nous pourrions nous atteler a quelques projets supplémentaire qui sont restés dans les boites a cartons du CPS.

H.N. : Comment analysez-vous votre passé politique ?

H. : Et bien en fait si je suis arrivé en 2007 je n'ai été actif qu'un seul mois pendant cette année : en octobre novembre durant la campagne présidentielle. Je suis resté assez longtemps pour assister a la création du Parti Violetiste. Mais après cela je suis reparti ... Jusqu'au mois de juin 2010 ou je suis revenu pour de bon à Simland. Paradoxalement je suis a la fois jeune et vieux simlandais, jeune car j'ai dû repartir de zéro et vieux parce qu'il y a inscrit 2007 sur mon profil.

H.N. : Avez-vous des regrets ?

H. : Je regrette d'avoir loupé l'âge d'or simlandais avec les présidences de AG, Sanosuke et Napoléon. Cela devait être grandiose. C'est ce qui constitue mon ambition politique d'améliorer les choses pour ainsi retrouver cette période florissante que j'ai manqué. Je suis sur qu'on peut y parvenir avec de la ténacité.


Halotime nous a reçus dans son palais de Vice-Président afin de réaliser cette interview.

H.N. : Y-a-t-il des faits de votre passé que vous voudriez mettre en valeur ?

H. : Ça serait mon bilan très satisfaisant a la tête du Simland méridional. J'ai repris la dernière région simlandaise en terme d'activité pour un an plus tard laisser la région la plus active du pays avec 14 maires et 16 villes, un record dans l'histoire du SD. Au niveau national je suis assez fier de mon exploit en partant de rien a mon retour à Simland pour finir 2 mois plus tard gouverneur, 3 mois plus tard ministre, 5 mois après Vice-président et 6 mois encore après PDG de la plus grosse compagnie simlandaise. J'ai connu un échec relatif en novembre avec les élections (et pourtant quel succès avec le troisième score simlandais en voix) mais il est à relativiser avec les nombreux succès de ma vie simlandaise.

H.N. : Quel regard posez-vous sur votre carrière politique ? Et pensez-vous vous arrêter là après votre mandat de vice-président ?

H. : Oh il ne faut jamais dire jamais. Tous dépendra des circonstances. Si le mandat continue sur sa lancée et devient un grand succès cela ouvrira quelques portes que je ne refuserais pas bien évidement (c'est logique). Mais si ce n'est pas le cas et bien je prendrais surement ma retraite. Il y a une vie après un destin National.

H.N. : Et le mot de la fin ?

H. : Si je dois conclure, ça sera sur une note positive : voyez mon parcours et dites vous qu'avec une pointe d'ingéniosité et une once de ténacité : Tous est possible à Simland.

H.N. : D'accord merci monsieur le Vice-Président, au revoir.

H. : C'est moi qui vous remercie !

Propos recueillis par Britney Al-Giulia. Nous rappelons que les propos de notre invité n'engagent que lui et ne sont pas nécessairement le reflet de l'opinion de notre journal, ni celui de notre rédacteur, ni de MSims ou de Hanov'News.

Les Élections Régionales ont eu lieu en Génésie, et le résultat des élections est le suivant : il n’y a pas de majorité, il faudra donc mettre en place une coalition, pour gouverner la région. Le Gouverneur doit être élu par l’Assemblée Régionale Génésienne ce week-end, et deux noms se détachent : Léonard (NPV, député de Hanovrie 1), et Chonde (SE, député de Carolie 2). Si aucune coalition ne réussit à se former, c’est le Président de Simland qui désignera un gouverneur parmi les députés.



L’ouest de la Région a largement voté pour le Parti Violettiste Génésien, qui remporte notamment les villes de Sonoma (Leonard, réélu à plus de 82%), Great Lake City (georgeshub, 76%), Napa (Jorge Mesmer, 59,13%), mais également des circonscriptions plus rurales, comme Méridionie 6 (Marie Fariot, 56,71%). Le Parti Socialiste a souffert de sa jeunesse, et n’a emporté qu’une circonscription, Génésie Centrale 4 (Michèle de Brie, 64,21%). Il faudra, contre toute attente, compter sur les députés du Mouvement Écologiste Génésien : en effet ils sont 3èmes de cette élection, avec 5 circonscriptions, toutes rurales, comme Hanovrie 2 (Guy Lachever, 54,8%). L’UDL, quant à elle, a un score plus faible à celui donné par les sondages : elles emporte 3 circonscriptions sur 32, dont deux à la frontière du Queens : Haute Génésie 4 (Loriane Vladimir, 50,24%) et Basse Génésie 2 (Giulio Thaïvet, 19,87% [pas d’opposant donc élu]). Il faudra compter avec les Sans-Étiquettes, qui ont remporté pas moins de 5 circonscription, ce qui n’est pas une surprise, à la suite de la dissolution du PED. On y trouve notamment Saint-Laurent (Romain Guillemot, 87,34%), Carolie 2 (Chonde, 91,24%), Basse-Génésie 1 (necplusultra, 77,28%) ou Méridionie 2 (The Grasshopper, 54,12%). Mais l’énorme surprise de ces élections reste le Parti Républicain Simlandais, qui se classe premier en nombre de circonscriptions, (mais pas en nombre d’habitants, les circonscriptions remportées par le PRS étant pour la majorité très rurales, et au centre de la région). Parmi les élus PRS, on trouve notamment T. Kentleprix (Hanovrie 3, 78,12%), Ric (Hanovrie 5, 84,84%), ou Victor Groumel (Haute-Génésie 2, 55,34%). Enfin, le Parti Nationaliste Simlandais rafle 4 circonscriptions, dans le centre-est de la Génésie, dont à Junetown (Robert Bühl, 51,12%), où, à la surprise générale, le candidat UDL et maire de la ville (depuis la défaite de T. Kentleprix en mars dernier) a perdu les élections, avec seulement 13,12%.

En résumé : Le PRS arrive premier avec 25% des circonscriptions (et donc des sièges au Parlement Régional), le PVG arrive 2ème avec 18,75%, puis viennent les 3èmes ex-æquo, le MEG et les Sans-Étiquette avec 15,63%, l’UDL se classe 5ème avec 9,38%, et enfin le PSS est 6ème, avec 3,13%. Tout est encore possible pour chacun des partis et des aspirants gouverneurs.

Les alliances déjà conclues : l’UDL et le PVG (28,13% à eux deux) tenteront logiquement d’attirer quelques Sans-Étiquette et quelques écologistes afin de former une coalition réunie derrière Leonard. Contre cette coalition peuvent se placer le PSS, le PNS et le PRS, (ensemble, 40,63%) à condition encore une fois d’attirer quelques Sans-Étiquettes et quelques écologistes. Ces deux derniers ont donc les clés de l’avenir de la Génésie, et se trouvent actuellement sous des montagnes de cadeaux, mais ça, vous devez vous en douter.

Tous les collégiens de Génésie apprennent ça dès leur 5ème : en 1956, la Génésie était unie sous le nom de « Midland », protectorat (et colonie) Britannique. Les impôts étaient élevés, et, comme dans toutes les colonies Britanniques de l’époque, un vent de liberté soufflait sur la Génésie, et le mot « indépendance » était sur toutes les lèvres. C’est à Fijevas (Hanovrie) que vont se dérouler les heurs les plus violents, qui vont précipiter l’indépendance de la Génésie.

Le 30 janvier 1956, un Parlement indépendantiste Génésien est installé à Genesis (Saint-Laurent). Les députés, par peur d’être arrêtés, vont se réfugier et continuent à travailler à Fijevas. Alors que l’armée Britannique vient pour réprimer cette initiative et prévoit de marcher sur Fijevas. La population, dans un formidable élan de solidarité, décide de fortifier la ville comme elle le peut, et installe des barricades dans les rues. L’armée britannique assiège la ville du 17 février au 1er juin, date à laquelle Fijevas, entièrement détruite, tombe. (photo)



Fijevas le 1er juin 1956.

Mais cela n’arrêtera pas la ferveur des habitants. Dès le 4 juin, malgré la censure, la rumeur du coup de Fijevas arrive dans la plupart des grandes villes de Génésie, où la grève générale commence, avec des émeutes, surtout à Fijevas, malgré la chute libre du nombre d’habitants. Avant l’attaque des Britanniques, il y avait 20 000 habitants. Après, il y en a à peine 1000 (aujourd’hui la population de Fijevas s’élève à 7000 habitants). Ces émeutes paralyseront le pays, jusqu’à l’indépendance de la Génésie, le 8 octobre 1956. L’insurrection de Fijevas a permis l’accélération de l’indépendance de la Génésie, c’est donc un tournant dans l’histoire de la Région. Nous fêtons actuellement les 56 ans de la chute de Fijevas, c’est pourquoi notre journal a tenu à exercer son devoir de mémoire.

Des célébrations auront lieu dans la journée dans chaque ville de Génésie.